Trump : La voie/voix du hors-État
Dans une réflexion sur la loi du plus fort
Dans une réflexion sur la loi du plus fort
19 mars 2024Crise ou volonté du gouvernement caquiste d’imposer coûte que coûte sa vision des choses ?
Effectuons, si vous le voulez bien, un léger retour sur l’actualité de la semaine dernière, particulièrement au Québec et pour les secteurs de la Santé et de l’Éducation. Et le sujet se veut à ce point important que nous sommes obligés de le couvrir en deux parties, dont celle-ci est la première.
Quelques gloses marginales pour terminer
Si dans la première partie nous avons surtout exposé de récentes nouvelles sur l’évolution à la fois de la Santé, de l’Éducation et des conventions collectives, au point d’aboutir à un commentaire critique qui révèle le maintien d’une mentalité gestionnaire et des calculs subordonnant ainsi (…)
Controverse entre Platon et Schopenhauer qui s’obstinent donc sur une certaine vérité… Sous la forme d’un dialogue imaginaire
Alors que Platon se trouvait tranquille à une table de la terrasse d’un bistrot d’une cité que nous ne nommerons pas, il fut soudainement interpellé par un homme surpris de sa présence. Ce dernier avait toutes les raisons du monde à vouloir s’approcher du grand philosophe sur qui il avait (…)
deuxième partie
Nous pouvons, à ce moment-ci, identifier d’une manière non limitative, au moins trois types de clientèles des services de santé au Québec : celles et ceux qui ont les moyens de se payer des services privés ; celles et ceux qui disposent de ressources professionnelles et bénévoles dans leur (…)
De la dialectique (chez Platon) à la dialectique éristique (selon Schopenhauer)
Puisque nous évoluons dans un monde où la communication et la discussion prennent une place omnipotente, il ne faudrait alors point ignorer l’apport non seulement de la rhétorique dans les débats pouvant survenir, mais surtout de la dialectique. Apparaît ainsi l’opportunité de faire une pierre (…)
Quand la morale prend le bord !
L’approche de la fin des travaux parlementaires nous sert de prétexte pour oser un questionnement légitime au sujet de certaines manoeuvres « réformistes » du présent gouvernement caquiste. Car il faut bien avouer que l’éducation autant que la santé, pourtant mise à mal par les anciens (…)
Une pensée révolutionnaire qui cacherait un droit à l’opposition
Au cours des dernières années et même encore actuellement, une inclination populiste se manifeste au coeur de la représentation politique, et nul besoin de citer des exemples pour nous justifier.
Pistes pour une prochaine lecture-critique approfondie (Texte 60)
« La façon la plus sûre de caractériser la tradition philosophique européenne est qu’elle consiste en une série de notes de bas de pages (sic) à Platon », Alfred North Whitehead.
Présentation de la méthode dialectique pour la théorie des Formes
« Il faut qu’il en soit l’un comme nous disions ; sinon, nous ne dirions pas vrai, quand nous disions que l’un n’est pas. Mais, si nous disons vrai, il est évident que nous disons ce qui est. N’en va-t-il pas ainsi ? » (Platon, 1967, p. 292).
Quand Platon s’intéresse à la naissance du monde
« Qu’est-ce qui est toujours, sans jamais devenir, et qu’est-ce qui devient toujours, sans être jamais ? » (Platon, 2001, p. 115).
Un écrit apocryphe
La vertu est une notion centrale dans les écrits de Platon. C’est à travers elle que la personne humaine et la Cité peuvent devenir meilleures et atteindre l’excellence ; c’est par la pratique de la vertu que les deux peuvent pleinement aspirer à trouver le bonheur, cette fin ultime de la vie (…)
Texte apocryphe
Cet écrit est attribué à Platon. Il porte sur la nature du savoir, de la science ou de la connaissance. On y retrouve trois personnages : Socrate, Démodocos et le fils de ce dernier, Théagès. Ce texte tente d’apporter une réponse aux interrogations suivantes : auprès de qui peut-on acquérir le (…)
Texte apocryphe
Ce texte attribué à Platon porte sur un thème déjà discuté et analysé dans les ouvrages suivants : Démodocos, Ménon et un passage du livre IV de la République.
« {Plus je vieillis, plus j’étends mon savoir[2] } » : Solon (133c).
Dans ce court texte apocryphe qui porte sur la philosophie versus les exercices physiques, Socrate interroge deux jeunes hommes sur l’objet de leur discussion qui s’apparente à une dispute (132a). Ils échangent, selon l’amant de l’un des deux, « sur les corps célestes et débitent des sornettes à (…)
Ou Sur le plaisir ; genre éthique
Dans le livre Philèbe, Platon veut identifier la source principale du « souverain bien ». De quoi est faite la « vie heureuse » (11d) ?
Texte apocryphe dont on ignore le véritable auteur
Ce texte, comme le sous-titre l’indique, est un document attribué à Platon. Il s’agit d’un ouvrage apocryphe dont on ignore le véritable auteur qui semble ici avoir une grande maîtrise des ouvrages à caractère politique du grand philosophe.
Qu’en est-il de l’âme après la mort ? Où Socrate meurt à la fin…
Ce dialogue[1] relate les derniers moments de Socrate, alors que Phédon raconte à Échécrate la dernière conversation que celui-ci a eue avec certains de ses fidèles[2] avant de boire la ciguë.
Texte apocryphe dont on ignore le véritable auteur
Ce texte, comme le sous-titre l’indique, est un document attribué à Platon. Il s’agit d’un ouvrage apocryphe dont on ignore le véritable auteur qui semble ici avoir une grande maîtrise des ouvrages à caractère politique du grand philosophe.
Où Socrate se montre en quelqu’un qui connaît au moins deux ou trois petites choses…
« Car j’ai bien conscience, moi, de n’être savant ni peu ni prou », Socrate dans Platon. Apologie de Socrate (21b).
Quand Socrate récite de mémoire une oraison funèbre dont la compositrice est sa femme, la rhétrice Aspasie[1]
Socrate croise par hasard dans la rue Ménexène qui arrive de la Salle du Conseil. Ce dernier apprend au maître à penser de Platon qu’une cérémonie funèbre sera organisée pour rendre hommage aux soldats morts au combat au cours de l’année qui vient de s’écouler.
Courage n’est ni témérité ni science des choses à craindre (discours aporétique)
« Eh bien, pour le dire en un mot, lorsqu’on examine une chose en vue d’une autre chose, la délibération porte sur ce en vue de quoi on a entrepris l’examen, et non sur ce qu’on cherchait en vue d’une autre chose. » (185d)
Texte apocryphe dont on ignore le véritable auteur
Ce texte, comme son titre l’indique, porte sur le juste. On y retrouve deux personnages : Socrate et un interlocuteur anonyme.
Quelle est la conséquence d’un savoir dépourvu d’éthique ?
Dans ce dialogue, nous retrouvons trois personnages : les deux principaux sont Socrate et Hippias, auxquels s’ajoute un autre qui est très secondaire, à savoir Eudicos (il n’a que quatre répliques[1]). Il s’agit d’un écrit de jeunesse de Platon qui comporte huit parties, c’est-à-dire un prologue (…)
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...