« Ces terres, ce sont 60 hectares de milieux humides ; 128 hectares de forêt et 75 hectares parmi les meilleures terres agricoles du Québec. C’est un club de ski de fond prisé des citoyens, une école secondaire, un lieu de haut intérêt patrimonial juste en face de l’Île d’Orléans. Ce sont des familles qui y habitent, un paysage magnifique et le territoire ancestral de la nation Wolastoqiyik Wahsipekuk. Ce n’est pas une zone industrielle ! » a déclaré Valérie Cayouette-Guilloteau, membre du collectif.
« Alors même que les citoyens se sont mobilisés tout l’été, que plusieurs questions ont été posées au Conseil municipal de Lévis, qu’une pétition de 1567 noms sera déposée dans les prochains jours à l’Assemblée nationale, pendant tout ce temps-là ils travaillaient en cachette et nous arrivent avec ça ! C’est simplement inacceptable ! » déclare pour sa part Michel Bégin-Lamy aussi membre du Collectif.
Nous demandons que ces terres, extraites du territoire agricole par décret gouvernemental en 2007 soient ré-incluses dans la zone agricole permanente du Québec afin qu’elles soient à nouveau protégées par la CPTAQ et qu’aucune activité industrielle ne s’y développe.
Collectif sauvetage pour la sauvegarde des terres agricoles à Lévis et Beaumont.
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