Platon : Sisyphe ou Sur la délibération (Texte 55)
Texte apocryphe
Ce texte attribué à Platon porte sur un thème déjà discuté et analysé dans les ouvrages suivants : Démodocos, Ménon et un passage du livre IV de la République.
Texte apocryphe
Ce texte attribué à Platon porte sur un thème déjà discuté et analysé dans les ouvrages suivants : Démodocos, Ménon et un passage du livre IV de la République.
Dans une Lettre à Kepler du 19 août 1610, Galilée se moque de ceux qui pensent : [...] chercher la vérité ni dans le monde, ni dans la nature, mais (je cite leurs propres paroles) dans la confrontation des textes.
« {Plus je vieillis, plus j’étends mon savoir[2] } » : Solon (133c).
Dans ce court texte apocryphe qui porte sur la philosophie versus les exercices physiques, Socrate interroge deux jeunes hommes sur l’objet de leur discussion qui s’apparente à une dispute (132a). Ils échangent, selon l’amant de l’un des deux, « sur les corps célestes et débitent des sornettes à (…)
Ou Sur le plaisir ; genre éthique
Dans le livre Philèbe, Platon veut identifier la source principale du « souverain bien ». De quoi est faite la « vie heureuse » (11d) ?
Texte apocryphe dont on ignore le véritable auteur
Ce texte, comme le sous-titre l’indique, est un document attribué à Platon. Il s’agit d’un ouvrage apocryphe dont on ignore le véritable auteur qui semble ici avoir une grande maîtrise des ouvrages à caractère politique du grand philosophe.
Personne n’appellerait un artiste indien britannique ou un artiste péruvien espagnol, alors pourquoi les musées continuent-ils à qualifier les artistes ukrainiens de russes ?
Les célébrations du centenaire de la naissance de René Lévesque ont eu lieu au courant de l’été dernier au Québec. Probablement le politicien le plus influent et populaire de l’histoire du Québec, tout le spectre politique célèbre Lévesque. De gauche à droite, des libéraux à la CAQ, de Québec (…)
Où Socrate se montre en quelqu’un qui connaît au moins deux ou trois petites choses…
« Car j’ai bien conscience, moi, de n’être savant ni peu ni prou », Socrate dans Platon. Apologie de Socrate (21b).
Quand Socrate récite de mémoire une oraison funèbre dont la compositrice est sa femme, la rhétrice Aspasie[1]
Socrate croise par hasard dans la rue Ménexène qui arrive de la Salle du Conseil. Ce dernier apprend au maître à penser de Platon qu’une cérémonie funèbre sera organisée pour rendre hommage aux soldats morts au combat au cours de l’année qui vient de s’écouler.
Courage n’est ni témérité ni science des choses à craindre (discours aporétique)
« Eh bien, pour le dire en un mot, lorsqu’on examine une chose en vue d’une autre chose, la délibération porte sur ce en vue de quoi on a entrepris l’examen, et non sur ce qu’on cherchait en vue d’une autre chose. » (185d)
Texte apocryphe dont on ignore le véritable auteur
Ce texte, comme son titre l’indique, porte sur le juste. On y retrouve deux personnages : Socrate et un interlocuteur anonyme.
Quelle est la conséquence d’un savoir dépourvu d’éthique ?
Dans ce dialogue, nous retrouvons trois personnages : les deux principaux sont Socrate et Hippias, auxquels s’ajoute un autre qui est très secondaire, à savoir Eudicos (il n’a que quatre répliques[1]). Il s’agit d’un écrit de jeunesse de Platon qui comporte huit parties, c’est-à-dire un prologue (…)
Antilogie[2]
Dans ce dialogue narré, Socrate raconte à Criton, son vieil ami d’enfance, un échange qu’il a eu la veille au gymnase du Lycée avec les sophistes Euthydème et son frère Dionysodore.
Texte attribué à Platon et sur les raisons de l’excessivité
Se pose ici une question, à savoir : est-ce que l’homme aurait la caractéristique d’être par définition « avide » ? La réponse suggérée dans ce dialogue est la suivante : à partir du moment où aucun homme ne peut dire qu’il n’aime pas le gain, « tous les hommes sont avides et malhonnêtes » (…)
Ce 29 octobre 2022 marque le 57ème anniversaire de l’enlèvement et de la disparition d’une des plus grandes figures de la décolonisation et des indépendances du XXème siècle : Mehdi Ben Barka. Inspirons-nous de sa vie et de ses idées afin de construire aujourd’hui un nouveau front commun de (…)
Texte attribué à Platon dans une mise en valeur de la sagesse
« Pour les sages[1], les choses sont ce qu’ils les font » (Archiloque, fragment 132, p. 340)[2].
Texte attribué à Platon dans une valeur accordée à l’astronomie
L’ouvrage intitulé Épinomis se présente comme étant une possible conclusion au livre intitulé Lois. Il reste toujours à savoir aujourd’hui qui l’a rédigé. Les spécialistes excluent qu’il s’agisse d’un texte de Platon ou même de son disciple Philippe d’Oponte. Il s’agit donc d’un écrit « attribué (…)
Texte attribué à Platon sur la justice commune
Ce texte apocryphe se divise en quatre parties : premièrement, au sujet de la délibération en commun (380a-382e), il importe de savoir qui peut donner un avis compétent dans le cadre d’un débat, et de se demander que vaut un débat quand les personnes qui y participent n’ont aucune compétence sur (…)
Texte attribué à Platon dans une critique sévère de Socrate
Dans ce court dialogue attribué à Platon, Socrate est peu présent. Il ne fait qu’amorcer la discussion. Chose rarissime, Socrate se retrouve dans cet écrit non pas louangé mais sévèrement critiqué pour son enseignement. Il y a deux personnages principaux ici : Socrate et Clitophon. Un troisième (…)
Écrit attribué à Platon
Ce texte, comme le sous-titre l’indique, est un document attribué à Platon. Il s’agit d’un ouvrage apocryphe comportant 185 définitions de termes qu’on retrouve dans son œuvre. Les concepts philosophiques sont disposés sans ordre alphabétique et sans véritable ordre hiérarchique explicite. (…)
Un récit qui se termine sur une fin abrupte (Première version)
Critias est un dialogue qui a été rédigé immédiatement après le livre Timée. Il en est la suite. Nous aurons donc l’occasion éventuellement de les mettre en relation l’un avec l’autre. Ce dialogue introduit quatre personnages, à savoir, dans l’ordre : Timée, Critias, Socrate et Hermocrate. Il (…)
Conventionnalisme ou naturalisme ?
« Pourtant je ne serais pas surpris que les noms soient eux-mêmes en accord avec eux-mêmes », aux dires de Socrate (436e)[1].
L’extrémisme religieux est toujours dangereux d’où qu’il vienne.
J’ai eu bien des divergences avec mon ancien collègue, Christopher Hitchens, mais comme je voudrais qu’il soit là en ce moment. Comme vous le savez sans doute, il y a 30 ans, l’Ayatollah Khomeini a lancé une fatwa appelant à l’assassinat de Salman Rushdie pour, supposément avoir proféré un (…)
Dans la maîtrise du connais-toi toi-même
« Le sage est donc le seul qui se connaîtra lui-même et qui sera en mesure d’examiner ce qu’il se trouve savoir et ce qu’il ne sait pas, et il aura pareillement la capacité d’examiner autrui sur ce qu’il sait et croit savoir, lorsqu’il le sait, et inversement sur ce qu’il croit savoir, alors (…)
Presse-toi à gauche ! propose à tous ceux et celles qui aspirent à voir grandir l’influence de la gauche au Québec un espace régulier d’échange et de débat, d’interprétation et de lecture de l’actualité de gauche au Québec...