Stephen Harper et les pétrolières ont anéanti le processus d’examen environnemental du Canada, excluant les voix du peuple et les changements climatiques du mandat d’examende l’Office national de l’énergie pour le plus gros pipeline de sables bitumineux à ce jour.
Harper et les pétrolières savent qu’ils peuvent construire ce pipeline seulement s’ils ignorent les faits et le peuple. C’est le temps pour une intervention populaire.
Plus de 4,000 km de long, le projet Énergie Est de TransCanada s’étendrait de l’Alberta jusqu’au Nouveau-Brunswick et pourrait amener plus d’un million de barils de pétrole brut des sables bitumineux à l’océan Atlantique à chaque jour.
Les changements apportés au processus d‘examendes projets d’énergie ont presqu’entièrement éliminé la possibilité pour le peuple de communiquer ses inquiétudes face à des projets comme Énergie Est et excluent les changements climatiques des enjeux à considérer pour décider du sort de ce pipeline. Ceci, malgré le fait qu’Énergie Est produirait jusqu’à 32 millions de tonnes d’émissions de carbone chaque année – ce qui est comparable à l’addition de 7 million de nouvelles voitures sur les routes canadiennes, donnant à Énergie Est une empreinte carbone plus grande que n’importe quelle province atlantique.
Il est crucial de lutter contre Énergie Est pour arrêter l’expansion irresponsable des sables bitumineux qui viole les droits des peuples autochtones, menace les communautés tout le long du pipeline et contribue aux dangereux changements climatiques.
Nous pouvons l’arrêter. Dites au nouveau Président de l’Office national de l’énergie PeterWatson d’inclure les changements climatiques et les voix du peuple dans le mandat d’examen du pipeline Énergie Est !
Pour signer la pétition : http://act.350.org/letter/energie-est/