Déjà en 2001, l’article de Jacques B. Gélinas « L’agriculture prise au piège de la globalisation » en décrivait les dangers (voir jacquesbgelinas.com). Des gens clairvoyants, en s’organisant, ont réussi à sortir la culture de l’OMC. Quand va-t-on sortir l’agriculture de l’OMC ?
Quand on veut savoir qui a commis un crime, on regarde à qui cela profite…. A qui profite la globalisation ? Sûrement pas aux agriculteurs, ni aux travailleurs du monde entier, qu’on met en lutte les uns contre les autres, mais aux transnationales qui font des milliards de profit, et à leurs actionnaires.
Dans son livre The quick and the dead, (v.f. Cours ou meurs), Linda McQuaig cite David G. Vice, alors président de l’Association des manufacturiers canadiens et décrivant cette jungle de la globalisation : « There will be […] the quick and the dead » Il n’avait que trop raison hélas !…