« J’appelle les progressistes et les souverainistes à se mobiliser pour envoyer un message clair à la classe politique. La population s’impatiente face à des vieux partis qui abandonnent leurs promesses dès que le milieu des affaires se dresse devant eux. Ce sont les intérêts des travailleurs et travailleuses, des familles, bref, des gens ordinaires qu’Edith et Geneviève défendront à l’Assemblée nationale », avance Françoise David, députée de Gouin.
Rappelons que durant la campagne, les deux candidates solidaires ont fait plusieurs propositions pour améliorer la qualité de vie des citoyens et citoyennes de leur circonscription. Édith Laperle s’est fait remarquer par sa proposition de projet pilote au CLSC Côte-des-Neiges afin qu’il devienne accessible 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Geneviève Fortier-Moreau a de son côté proposé de nombreuses mesures pour favoriser la persévérance scolaire, un problème structurel dans le quartier Saint-Michel.
« C’est ma seconde campagne dans Outremont et je sens que la population fait de plus en plus confiance à Québec solidaire. Que ce soit en matière de logements, d’accès aux services publics ou d’intégration, les citoyennes et les citoyens ont vu que nous avions des solutions concrètes à leur apporter. Le manque d’intégrité du parti libéral conjugué à sa déconnexion totale de la réalité des gens ordinaires me fait penser qu’Outremont n’est pas gagné d’avance pour Monsieur Couillard », lance Édith Laperle.
« Avec mon équipe, nous avons mené une campagne de terrain dont nous pouvons être fiers. Les liens avec les organismes communautaires et la population sont bien établis. J’ai proposé des actions concrètes comme la pétition pour l’augmentation de fréquence de 3 lignes d’autobus. J’ai amené l’idée d’implanter 90 unités de logements sociaux par année durant cinq ans pour répondre à des préoccupations bien réelles de la population. Nous proposons une alternative crédible aux vieux partis et particulièrement au PLQ qui tient sa réélection pour acquise », conclut Geneviève Fortier-Moreau.
