D’ici au 26 juillet, plusieurs enjeux actuels seront discutés, tels que la marchandisation de l’éducation et sa privatisation, de même que la réduction de l’accès à une éducation publique de qualité pour tous. En lien avec ces thématiques, la FSE et l’APEQ pourront notamment faire connaître les dérives vécues au Québec depuis l’implantation des conventions de gestion et de partenariat.
« Ce congrès est un moment privilégié pour réfléchir à de nombreux aspects de notre profession dans la perspective de mieux la valoriser. Pour faire progresser l’éducation, l’autonomie professionnelle des enseignants doit être respectée et leur expertise prise en compte. Nous savons aussi que le progrès passe par notre mobilisation et notre implication active dans ces enjeux de taille. C’est un grand moment de solidarité entre des enseignants de partout au monde, puisque les pays qui priorisent l’éducation sont également ceux qui ont le meilleur développement social. Une fois de plus, cela nous rappelle qu’il est plus que nécessaire de cesser les compressions brutales qui ont cours depuis plusieurs années au Québec », ont déclaré Mme Josée Scalabrini, présidente de la FSE, et M. Richard Goldfinch, président de l’APEQ, tous deux présents à ce congrès.
Fidèles à leurs habitudes, la FSE et l’APEQ interviendront sur tous les sujets qui les préoccupent, comme les élèves en difficulté, la formation professionnelle, l’éducation des adultes et la question de l’égalité des chances dans son ensemble.