Photo tirée de la page Facebook du candidat Carl Lévesque (Marie-Victorin).
Marie-Victorin
Photo tirée de la page Facebook de Québec solidaire Marie-Victorin.
Carl Lévesque propose un projet-pilote de revenu minimum garanti à Longueuil
Tiré du site de Québec solidaire.
Carl Lévesque, candidat de Québec solidaire à l’élection partielle de Marie-Victorin, propose de lancer une expérience de revenu minimum garanti (RMG) dans la ville de Longueuil. « Il est grand temps que le gouvernement du Québec fasse quelque chose de sérieux pour réduire la pauvreté. Il devrait s’inspirer du gouvernement libéral de l’Ontario qui lance un projet-pilote semblable à ce que je propose dès le printemps prochain. »
Le plan de Carl Lévesque prévoit que le gouvernement du Québec fera démarrer une expérience-pilote de revenu minimum garanti (RMG) au lendemain des élections générales de 2018. Elle se déroulerait dans une municipalité qui comporte une proportion significative de personnes vivant dans la pauvreté. Il propose que ce choix se porte sur Longueuil.
Voici les détails de son plan :
Tous les résidants de la municipalité cible entre les âges de 18 et 65 ans recevront la garantie d’un revenu annuel brut égal au minimum vital tel que fixé par l’Assemblée nationale.
Les travailleuses et travailleurs précaires dont le salaire n’atteint pas ce minimum vital recevront du RMG un versement mensuel comblant la différence, plus une modeste prime mensuelle d’incitation à l’emploi, selon des modalités à définir.
Il ne sera exigé aucune condition des candidat.e.s au RMG sauf la preuve de leurs revenus. Aucune pénalité ne sera imposée. Le système d’aide sociale actuel sera supprimé sur le territoire de l’expérience, sauf dans le cas, peu fréquent, de personnes recevant déjà des prestations supérieures au RMG (p. ex. handicapé.e.s, bénéficiaires de pensions alimentaires, accidenté.e.s du travail).
L’Assemblée nationale nommera une commission du RMG qui aura pour mandat de préparer l’entrée en vigueur du programme et de présenter des rapports d’étape annuels. Cette commission publiera une évaluation globale des effets du RMG quelques mois avant les élections de 2022 où elle formulera un avis sur l’opportunité d’étendre le programme à d’autres municipalités ou à l’ensemble du Québec.
« La ville de Longueuil serait une excellente candidate pour cette expérience-pilote, estime Carl Lévesque. Rien que pour la circonscription de Marie-Victorin, 32,4 % de la population en âge de travailler (15 à 65 ans) gagne moins de 15 000 $ par an. À l’échelle de toute la ville, ce sont près de 50 000 personnes qui sont dans cette situation précaire. Le nombre de bénéficiaires du RMG varierait évidemment selon le seuil du minimum vital que l’Assemblée nationale déciderait de choisir. »
Dans un premier temps et pour des raisons de coût, Carl Lévesque propose que les étudiants soient exclus du RMG, mais que l’aide financière aux études soit révisée à l’échelle provinciale, notamment en ce qui a trait au critère d’autonomie financière. Les stages et internats obligatoires de fin d’études devront également être rémunérés pour mettre fin à cette forme choquante de travail gratuit.
Ce ne serait pas la première expérience de revenu minimum garanti au Canada. Entre 1974 et 1978, le gouvernement néodémocrate du Manitoba avait aboli son système d’aide sociale dans la région de la petite ville de Dauphin et l’avait remplacé par un revenu minimum garanti. Ce programme, baptisé Mincome, avait coûté 85 millions de nos dollars d’aujourd’hui et avait touché près de 4 000 personnes. Il avait été aboli après l’arrivée au pouvoir des conservateurs manitobains.
Une professeure des sciences de la santé de l’Université du Manitoba, Evelyn Forget, a récemment analysé les résultats de l’expérience et découvert qu’elle s’était traduite par une diminution de 8,5 % des hospitalisations dans la région, une baise du décrochage scolaire et une diminution des faillites personnelles. Contrairement aux prédictions apocalyptiques de ses détracteurs, l’expérience n’avait pas entraîné de désertion massive des milieux de travail. Seules quelques femmes en avaient profité pour se payer des congés de maternité un peu plus longs (les congés parentaux actuels n’existaient pas) et des adolescents avaient choisi de prolonger leur scolarité. Une diminution de 8,5 % des hospitalisations n’est pas une mince affaire. La professeure Forget estime que cela représenterait une économie de 4,6 milliards de $ de 2016 à l’échelle de tout le Canada.
Les expériences de RMG se multiplient dans le monde occidental. Pour une bonne raison : les systèmes d’aide sociale, trop lourds, bureaucratiques et punitifs, n’atteignent pas leur objectif proclamé, la réduction de la pauvreté. En Ontario, la première ministre Kathleen Wynne a d’abord mandaté le conservateur Hugh Segal, ancien directeur de cabinet de Brian Mulroney, pour définir le projet. Puis son gouvernement a mis de côté une enveloppe de 25 millions $ dans le budget de 2016. Le projet-pilote ontarien débutera en avril 2017 dans une ville dont l’identité n’a pas encore été révélée.
En Finlande, la coalition droite-gauche actuellement au pouvoir, lancera dès janvier 2017 une expérience du même type, 10 000 personnes à qui on garantira un revenu minimum entre 500 et 700 euros par mois, selon leur situation personnelle. Aux Pays-Bas, où l’aide sociale est de juridiction municipale, la vile d’Utrecht lance un projet-pilote le 1er janvier 2017 qui accordera à plusieurs milliers de personnes à faible revenu une somme mensuelle de 972 euros, plus 125 euros s’ils ont aussi un travail. D’autres villes néerlandaises lancent des programmes similaires, Groningue, Nimègue, Wageningen et Tilburg.
L’approche répressive des Libéraux avec l’adoption du projet de loi 70 ne réduira ni la pauvreté, ni le chômage, ni la bureaucratie. Un salaire minimum à 15 $ de l’heure et l’introduction du revenu minimum garanti permettront, au contraire, de sortir les gens de la pauvreté, tout en procurant des retombées non négligeables sur les dépenses de l’État.
À propos de Carl Lévesque
À 36 ans, Carl Lévesque a déjà été candidat de Québec solidaire dans la circonscription de Marie-Victorin en 2012 et en 2014. Facteur pour Postes Canada depuis plus de 17 ans et résident de Longueuil depuis toujours, il a passé la vaste majorité de sa carrière à sillonner les rues de la ville et connaît très bien la réalité et les défis dans ses différents quartiers. Il est également militant au sein du Syndicat des travailleurs et des travailleuses des Postes et s’est impliqué dans la campagne contre les boîtes postales communautaires du gouvernement Harper.
Son implication comme directeur des opérations du Réseau Québec-Monde témoigne de son grand intérêt pour la politique internationale et pour les différentes luttes pour l’indépendance à travers le monde. Il était présent pour le référendum sur l’indépendance de l’Écosse en 2014 et lors de l’élection au Parlement de Catalogne de 2015, scrutin considéré comme un vote sur l’indépendance de la Catalogne. Carl a voyagé partout à travers le monde. Grand altruiste, il s’est récemment rendu en Grèce par ses propres moyens pour aider dans un camp de jeunes réfugiés orphelins.
Et sa plate-forme électorale
Au travail, 15$/h, c’est le minimum
Alors que se creuse l’écart entre les riches et les pauvres, le gouvernement continue à tolérer l’évasion fiscale et la corruption et vend le Québec aux compagnies pétrolières. En luttant pour la hausse du salaire minimum à 15$/h, Québec solidaire travaille à améliorer le quotidien de la population. C’est aussi pour ça que moi, Carl Lévesque, je souhaite bâtir un pays indépendant au service des gens.
Mes solutions solidaires pour Marie-Victorin
– Arrêt du transport pétrolier par train et pipeline
– Gratuité du transport collectif pour les étudiant.e.s à temps plein
– Construction de 2000 logements sociaux pour aider les familles à mieux se loger
– Protection des rives du fleuve et du marais Darveau
– Mise en place d’initiatives locales d’alimentation abordable
Verdun
Élection partielle dans Verdun - Véronique Martineau, une relève engagée et proche des gens
Tiré du site de Québec solidaire.
Photo tiré de la page Facebook de Québec solidaire Verdun.
En présence du président et porte-parole de Québec solidaire, Andrés Fontecilla, les membres de Québec solidaire ont choisi Véronique Martineau comme candidate solidaire pour les élections partielles à venir dans Verdun. Près de 100 personnes, membres, sympathisant.e.s et proches, étaient réunies dans une salle comble et très effervescente.
« C’est avec une grande fierté que je me porte candidate pour représenter mon quartier à l’Assemblée nationale », a exprimé Mme Martineau à la suite de son élection. « Je désire mettre l’accent sur mes trois priorités tout au long de la campagne, c’est-à-dire un salaire minimum décent à 15$ l’heure, un transport collectif efficace et gratuit d’ici 10 ans, puis des services publics de qualité et gratuits. J’ai la conviction profonde que le travail d’une députée engagée dans son comté peut faire une vraie différence dans la vie des gens », poursuit la candidate.
« Véronique, c’est une candidate de choix pour un comté comme Verdun. Elle est à l’écoute de de ses concitoyens et concitoyennes, c’est une grande démocrate et elle a à coeur le bien-être collectif. Ce sont des personnes comme elle, investie et authentique, qui changeront la politique au Québec. Dans le climat de corruption et de cynisme, c’est un vent de fraicheur de voir des personne comme Véronique avoir le courage de ses idées et mettre les pieds dans l’arène politique », a lancé M. Fontecilla.
Sur le terrain, plusieurs personnes s’activent déjà à organiser la campagne pour que Québec solidaire gagne du terrain. L’enthousiasme était palpable tout au long de la soirée et les troupes sont prêtes à remporter cette élection.
À propos de Véronique Martineau
Véronique Martineau, résidente de la 5e avenue à Verdun, est convaincue que la politique concerne tout le monde. Elle a débuté son engagement en participant à la création d’un syndicat étudiant pour promouvoir la gratuité scolaire. Elle choisit maintenant de s’investir dans un parti populaire et solidaire pour contribuer à bâtir une société plus juste et plus équitable.
En tant qu’ancienne intervenante du Centre des femmes de Verdun et responsable de la formation du Front commun des personnes assistées sociales du Québec, Véronique connaît bien les injustices que vivent les gens d’ici. Elle estime qu’il est temps que Verdun soit représenté par quelqu’un qui connaît la réalité de ses résidentes et résidents.
Que ce soit dans sa lutte pour le salaire minimum à 15$ de l’heure ou pour la défense du commerce local, Véronique se tiendra debout pour Verdun à l’Assemblée nationale. Elle sera la porte-parole des gens du quartier qui rêvent d’un revenu viable et d’une meilleure qualité de vie pour tout le monde.
Et sa plate-forme électorale
Au travail, 15$/h, c’est le minimum
Tout augmente sauf nos salaires. À Verdun, la moitié de la population gagne moins de 25 000$. Nos gouvernements ont augmenté les tarifs en éducation et en garderie, tout en diminuant les services. Même chose pour les transports collectifs à Montréal. Pour Québec solidaire, la hausse du salaire minimum à 15$ l’heure fait partie de la solution. Moi, Véronique Martineau, je mènerai cette lutte qui permettra aux gens de vivre dignement.
– Gratuité et qualité pour nos systèmes d’éducation et de santé
– Implantation d’un revenu minimum garanti
– Registre des baux et diversification du parc locatif pour que les familles se logent mieux
– Gratuité progressive des transports collectifs et bonification de l’offre dans Desmarchais-Crawford et l’Île-des-Sœurs
– Taux d’imposition préférentiels pour aider les PME à absorber la hausse du salaire minimum à 15$/h
Arthabaska
Sarah Beaudoin espère recueillir 10% des votes
Par Alex Drouin
Tiré du site de l’hebdomadaire La Nouvelle Union.
Photo tirée de la page Facebook de Québec solidaire Artjhabaska.
Le représentante de Québec solidaire a déposé officiellement sa candidature vendredi auprès du Directeur général des élections.
C’est toutefois depuis le 6 octobre dernier que la jeune femme de 20 a amorcé sa campagne en vue de l’élection partielle du 5 décembre. Jusqu’ici, elle est très heureuse des commentaires entendus et de l’accueil des citoyens de la circonscription.
« On me dit que c’est un vent de changement de voir une jeune femme », a fait mention celle qui s’est engagée auprès du parti depuis deux ans déjà.
Au cours des dernières semaines, elle a multiplié les rencontres avec les électeurs de la région. Vendredi, elle cherchait à récolter des appuis à la pétition pour l’augmentation du salaire minimum à 15 $ de l’heure. Selon Québec solidaire, un million de travailleurs et travailleuses gagnent moins de ce montant par heure.
Outre ce projet, QS propose la nationalisation du secteur de l’énergie éolienne. Le parti va également appuyer les producteurs laitiers dans le dossier du lait diafiltré et de la gestion de l’offre, veut maintenir les emplois et des services en éducation, en CPE et en santé. Notons à cela, la protection de l’eau et du territoire.
Des inquiétudes dissipées
Lorsque questionnée sur les risques que pourraient représenter le salaire minimum à 15 $ de l’heure, la jeune femme n’y voit là aucun problème. « Les grosses entreprises ne seraient pas touchées et pour ce qui est des PME, il y aura des mesures pour faciliter la transition afin de permettre à tout le monde de bien vivre », a-t-elle fait savoir.
Toujours plus
Certes, elle espère remporter les élections du 5 décembre, mais elle ne se berce pas d’illusions puisque la dernière fois que les citoyens d’Arthabaska sont allés aux urnes pour les élections provinciales, en 2014, la représentante de Québec solidaire, Christine Letendre, avait récolté 2222 votes (5,21%).
« Idéalement ce serait de gagner mais si on reste dans les pourcentages, ce serait bien », a-t-elle souhaité en parlant de 10 %.
À propos de Sarah Beaudoin
À vingt ans, Sarah Beaudoin est motivée par sa soif de changement. Elle veut que la population soit entendue et qu’elle puisse être au centre des décisions politiques. C’est pourquoi, en plus de son engagement dans la gauche politique, Sarah s’implique bénévolement dans de nombreux organismes comme le Service d’Aide aux Néo-Canadiens (SANC) ainsi que La Grande Table, entreprise d’économie sociale qui contribue à nourrir près de 25 familles par jour, afin d’aider concrètement les gens.
Née à Asbestos, elle a fait ses études au Cégep de Victoriaville en sciences humaines et poursuit actuellement un baccalauréat en psychologie. Bref, cette jeune femme connaît bien le Centre-du-Québec et la circonscription d’Arthabaska. Sarah est à l’écoute des besoins des gens et elle fait de la lutte aux inégalités sociales et économiques une priorité.
Et sa plate-forme électorale
Au travail, 15$/h, c’est le minimum
Les coupes des dernières années du gouvernement libéral ont fait très mal, particulièrement aux très nombreuses femmes travailleuses et usagères de nos services publics. Pour Québec solidaire, l’augmentation du salaire minimum à 15$ l’heure est une autre façon de s’assurer que les travailleurs et les travailleuses du Québec vivent dans la dignité. Moi, Sarah Beaudoin, j’ai choisi de m’investir pour que soit entendue la voix des gens d’Arthabaska.
Mes solutions solidaires pour Arthabaska
– Appui aux producteurs laitiers dans le dossier du lait diafiltré et de la gestion de l’offre
– Nationalisation du secteur de l’énergie éolienne
– Refus de l’exploitation du gaz de schiste et protection de l’eau et du territoire
– Maintien des emplois et des services en éducation, en CPE et en santé
St-Jérome
Élection partielle dans Saint-Jérôme : Marcel Gosselin veut rassembler les forces du changement
Tiré du site de Québec solidaire.
Photo tiré de la page Facebook de Québec solidaire St-Jérome.
Le candidat de Québec solidaire à l’élection partielle de Saint-Jérôme, Marcel Gosselin, s’engage à rassembler les forces du changement et construire un projet rassembleur et progressiste main dans la main avec les gens de Saint-Jérôme dès le 5 décembre prochain.
« Depuis le début de ma campagne, je rencontre des gens et des groupes qui travaillent sans relâche pour faire la différence dans leur communauté. Du mouvement communautaire aux groupes citoyens en passant par les gens qui s’impliquent dans l’école de quartier, ils m’ont tous confié qu’il était temps d’offrir une réelle alternative pour battre les libéraux. Ils font partie de la solution », affirme Marcel Gosselin. « Je m’engage à travailler avec les gens de Saint-Jérôme pour leur donner une place sur la ligne de départ de notre proposition de changement pour le Québec à l’Assemblée nationale. »
« Québec solidaire veut construire un projet rassembleur qui dépasse ses frontières, de concert avec les Premières Nations, les mouvements sociaux et politiques, les citoyens et citoyennes de toutes origines et les partis politiques qui partagent les grands principes de la formation politique », déclare Andrés Fontecilla, président et porte-parole de Québec solidaire.
M. Gosselin propose aux Québécoises et aux Québécois de s’engager pour un projet souverainiste, inclusif et féministe, la fin de l’austérité par un réinvestissement massif dans les services publics et les programmes sociaux, la réforme de notre mode de scrutin dépassé, la transition écologique et l’arrêt définitif du développement des hydrocarbures.
De passage dans la circonscription, le porte-parole de Québec solidaire, Andrés Fontecilla, appelle les gens de Saint-Jérôme à rejoindre les forces du changement en accordant leur confiance à Marcel Gosselin le 5 décembre prochain.
« On vous prend pour acquis depuis trop longtemps, d’un candidat-vedette à l’autre ! » s’exclame M. Fontecilla. « Un vote pour Marcel, c’est un vote pour envoyer un quatrième député solidaire à l’Assemblée nationale et renforcer le travail d’opposition efficace de Françoise, d’Amir et de Manon. C’est un vote pour battre les libéraux en 2018. C’est un vote pour redémarrer le mouvement souverainiste dès aujourd’hui », affirme le porte-parole de Québec solidaire.
« On sent que le vent tourne. Dans Saint-Jérôme et partout au Québec, les gens ont soif d’un gouvernement qui fait les choses différemment. Personne ne veut remplacer les libéraux par une pâle copie qui adhère au dogme du déficit zéro, aux politiques d’austérité. Pour montrer la porte à ce gouvernement corrompu, il faut défaire son système. Si on pense pareil, Marcel est votre homme ! » conclut Andrés Fontecilla.
À propos de Marcel Gosselin
Marcel Gosselin est originaire d’une famille ouvrière d’Asbestos dans les Cantons de l’Est. Diplômé en philosophie et en pédagogie de l’Université de Montréal, il a enseigné pendant 33 ans au département de philosophie du Cégep de Saint-Jérôme dont il a assumé la coordination à quelques reprises.
Jérômien et militant social depuis 40 ans, il s’est impliqué dans son syndicat et au conseil central CSN des Laurentides. Au fil des ans, il a participé à la fondation d’une demi-douzaine d’organismes à caractère coopératif ou communautaire dans la région des Laurentides. Celui où il s’est le plus investi reste Solidarité Laurentides Amérique centrale (SLAM) qu’il a présidé pendant 27 ans et où il est encore actif.
Marcel s’est joint à Québec solidaire en 2007 et assume la coordination de l’association de Saint-Jérôme depuis 8 ans. Il a été directeur de campagne lors des deux dernières élections. Il est aussi co-coordonnateur de QS Laurentides.
Et sa plate-forme électorale
À Saint-Jérôme, 40% de la population gagne moins de 20 000$. Plutôt que d’encourager la corruption et l’évasion fiscale des grosses compagnies et des plus riches, Québec solidaire veut mettre fin au cynisme en proposant des solutions qui profiteront à tout le monde, comme la hausse du salaire minimum à 15$ l’heure. Moi, Marcel Gosselin, je serai à l’écoute des besoins et des priorités des gens d’ici.
– Accès gratuit à des soins de santé de première ligne 24h/7jours
– Construction de 600 logements sociaux sur 5 ans
– Financement adéquat et autonomie pour les organismes communautaires
– Appui accru à l’innovation en transport électrique et collectif
– Protection de nos espaces verts