Tiré du site des Artistes pour la paix.
Depuis deux ans, l’aiguille des minutes était stationnaire à minuit moins trois, ce qui était déjà sa position la plus proche de l’heure fatidique depuis le début des années 80. Le comité des Sciences et de la Sécurité avait averti, dans ses deux derniers communiqués annuels, que le risque d’une catastrophe planétaire est très important et les actions requises pour le réduire doivent être prises très bientôt. En 2017, il nous avertit que le risque est encore plus grand et que les actions requises le sont de façon encore plus urgente. Il est minuit moins deux minutes et demi, l’Horloge avance, le danger planétaire est présent. Nos dirigeants les plus sensés doivent agir immédiatement pour guider l’humanité hors du danger. Sinon, ce sont les citoyens qui devront s’en charger.
Les raisons principales tiennent dans la déclaration annuelle pour 2017 dont on peu prendre connaissance en cliquant ici (fichier PDF en anglais).
Et pourtant le nouveau Secrétaire général de l’ONU a déclaré le 23 janvier sa résolution ferme de libérer le monde de la menace nucléaire et de toutes les armes de destruction massive.
Le Rassemblement canadien pour une convention sur les armes nucléaires (CNWC/RCAN) a également commenté cette mise à l’heure de l’Horloge dans son communiqué du 26 janvier que l’on pourra lire en cliquant ici (fichier PDF).