La question qui vient inévitablement ensuite c’est : comment pourra-t-on se payer tout ça, même si nous savons que c’est un important « investissement » social ? Voilà que plusieurs forces politiques rappellent que beaucoup d’entreprises ont fait des gains importants, en pleine pandémie, alors que les gouvernements et la vaste majorité des citoyenNEs devaient conjuguer avec plus de dépenses et moins de revenus…
La proposition de 10 milliards de solutions est souvent présentée. Il semble que ça ne soit pas une lubie des groupes progressistes de notre société. En effet, la vaste majorité des canadiennes et canadiens, et des québécois et québécoise particulièrement, sont d’accord avec « une plus grande imposition du 1% le plus riche de la société », voire même des entreprises, surtout celles qui ont fait des « gains excessifs » dans cette période de crise.
« Avec la préoccupation qui existait déjà concernant le fossé entre les riches et les autres, il existe une marge de manœuvre pour les politiciens qui cherchent des options permettant de lever des fonds et qui semblent équitables dans les circonstances » contextualise l’article paru dans le Journal de Montréal.
Consultez aussi les résultats du sondage [en anglais] mené par la firme Abacus Data sur la faveur pour une plus grande imposition des plus riches.
Partagez aussi les revendications de la Coalition Main Rouge, ralliez pour le financement d’un plus fort filet social !
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