Or, la police et les groupes de femmes ont témoigné de l’efficacité et de l’utilité du registre des armes à feu dans la prévention de la violence envers les femmes et du suicide. C’est un gouvernement imperméable à la raison ou à la discussion qui veut imposer une révolution culturelle contre l’avis majoritaire de la population québécoise.
J’aimerais faire écho aux propos de Marie-Claude Lortie (http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/marie-claude-lortie/201202/16/01-4496516-ils-dansent-sur-les-tombes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_marie-claude-lortie_3273_section_POS1). Plusieurs militantes féministes fédéralistes que je rencontre se demandent s’il faut que le Québec se dote d’un pays pour ne plus être tenues de vivre sous un régime autoritaire et antiféministe (qu’est-ce qui se passera avec le libre choix en matière d’avortement ?) et peu respectueux des droits humains (la torture, vraiment ?).
Qu’est-ce que l’on doit faire, selon vous ? Les conservateurs ont le vent dans les voiles et j’ai peur que leur derniere « victoire » va simplement les encourager à aller plus loin.