Selon la revue Science, la planète Terre s’approche dangereusement de cinq points de bascule qui provoqueront des perturbations climatiques majeures risquant ainsi de créer un terrible et incontrôlable effet domino.
Soit la fonte de la calotte glaciaire du Groenland, celle de l’Antarctique Ouest, le dégel brusque du pergélisol boréal, la mort des récifs coralliens de basse latitude et finalement, la perte des glaciers montagneux qui représentent les sentinelles des changements climatiques. Précisons que le dégel du pergélisol entraînera la délocalisation de milliers de personnes qui perdront non seulement leur habitat et leur territoire, mais leurs identités et leurs traditions. Nous subirons également les émanations de quantités astronomiques de CO2 et de méthane – le méthane possédant un pouvoir de réchauffement plus de 80 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone – augmentant les GES dans l’atmosphère et modifiant non seulement nos modèles météorologiques, mais surtout nos modes de vie.
Dès 1988, trois scientifiques, James Hansen, Makiko Sato et Reto Ruedy avaient pourtant sonné l’alarme en faisant la première déclaration publique importante ayant trait au réchauffement de la planète. Ils annonçaient au monde – preuves à l’appui – que nous nous dirigions vers une « nouvelle frontière climatique » avec des conséquences désastreuses pour le climat de la planète et que des catastrophes matérielles et surtout humanitaires sans précédent s’en suivraient. Le monde allait brûler et se noyer à la fois si nous ne faisions rien. Et depuis ? Quelle perte de temps et surtout quel impardonnable, voire criminel gâchis causé par les tergiversations de nos dirigeants, les fourberies des lobbys climatosceptiques et par une certaine incrédulité des populations ! Ne nous le cachons pas, c’est en raison de notre déni et d’une certaine turpitude si de graves et imprévisibles bouleversements climatiques et leurs effets cataclysmiques pour l’environnement et notre survie continueront de se produire et qu’ils iront en s’amplifiant.
Deux erreurs ont été commises au départ, soit de n’avoir pas su mieux informer et impliquer immédiatement les populations et d’avoir privilégié, sur le tard, des mesures dites d’adaptation aux changements climatiques – discours que nous tenons encore aujourd’hui – plutôt que de s’attaquer frontalement et collectivement aux véritables causes directes et indirectes responsables de tous ces bouleversements si dévastateurs et meurtriers. Ces perturbations climatiques qui affectent dorénavant tous les coins du globe et de manières fort inégales, mais surtout injustes pour les populations vulnérables touchées et qui s’avèrent pourtant très peu responsables des désordres davantage générés par les États riches qui s’entêtent à perpétrer leur mode de vie : « steak, blé d’inde, char ». Les pays en développement ainsi touchés se sentent floués, humiliés et désespérés de devoir sans cesse batailler, voire quémander afin de recevoir de justes et indispensables contributions financières – et non pas des miettes offensantes et irresponsables à l’image de la récente COP 29 – pour réparer les dévastations subies, mais surtout pour s’y prémunir et sauver l’habitat et la vie de millions de personnes gravement menacées.
Nous vivons actuellement sous respirateur artificiel dont le courant pourrait venir à manquer et nous ne sommes pourtant pas sans savoir qu’aucune civilisation n’est durable sans un climat stable. Toutefois, si nous nous entêtons à nier et minimiser les évidences et à sans cesse concocter des cocktails de solutions factices, provisoires et insuffisamment globales, notre monde présent s’exposera davantage à des vagues déchirantes et violentes de réfugié-e-s climatiques et économiques littéralement aux abois ainsi qu’à de tragiques et meurtriers conflits entre nations.
Nous assisterons aux pillages de biens et de ressources, à l’augmentation du surendettement éhonté des nations ainsi qu’à l’effondrement problématique de systèmes politiques et économiques. Des sociétés imploseront entraînant des épisodes dramatiques de guérillas urbaines accompagnées de tentatives de corruption, de campagnes d’extorsion et allant même jusqu’à des scènes de pillages et de tueries sanguinaires – la situation affligeante qui prévaut actuellement en Haïti en est une tragique illustration –. Il s’en suivra une détérioration angoissante des rapports humains alimentant de dramatiques éclosions de racisme et de xénophobie, une aggravation de la pauvreté, de la misère et l’apparition d’épidémies et même de pandémies. Nous assisterons à la montée en puissance de la propagation gangréneuse de trois virus. Tout d’abord, la tonitruante et désastreuse bouffonnerie diplomatique des rondes des Conférences des Parties (COP) accouchant de duperies et de lamentables échecs institutionnalisés dans l’atteinte réelle des cibles climatiques mondiales. Quant au second virus, soit le marchandage et le pelletage en avant ainsi que les ruptures d’engagement dans les mises en œuvre des accords internationaux. Puisque le prochain Gouvernement américain du vautour Trump entend éventuellement se retirer de l’Accord de Paris, de 2015, sur le climat. Quant au Canada – le quatrième plus grand producteur de pétrole brut et cinquième plus grand producteur de gaz naturel –, il s’illustre à merveille dans un double-jeu en adhérant à des accords de réduction des GES, mais en ne respectant jamais ses propres cibles et tout en continuant de subventionner à coup de milliards de dollars la tirelire déjà bien garnie des riches transnationales productrices du pétrole le plus sale et destructeur pour l’environnement, soit celui des sables bitumineux de l’Alberta et dont l’immense étendue des déchets environnementaux est même visible de l’espace. Et finalement, la montée en flèche des dictatures, des autocraties et des oligarchies ouvertement et dangereusement imprégnées d’idéologies doctrinaires et fascistes. Il s’agit d’une véritable lame de fond de régimes autoritaires, d’autant plus que près des trois-quarts de la population mondiale vivent actuellement sous l’emprise de tels régimes. Des régimes dissimulés sous des allures d’un populisme de bon aloi, abonnés aux fumisteries, à la propagande haineuse, aux discours racistes et xénophobes, allergiques à la liberté d’expression, carburant arbitrairement à la « climatosceptie » et répressifs face aux actions climatiques. Fait à noter, on observe cette répression même à l’intérieur de sociétés déclarées démocratiques. Pour exemples, la réélection récente de Trump, personnage dangereux et chaotique, et chez nous au Québec, les pénibles et inhabituelles conditions de détention et de libération des activistes du pont Jacques-Cartier qui constituent un précédent inquiétant et portant frontalement atteinte aux droits fondamentaux des citoyens et citoyennes qui luttent en l’occurrence pour le climat.
Puis, nombre de pays et leur population ne cesseront de s’enfoncer dans les sables mouvants du chaos, de se nourrir de miettes rationnées et rassises, de boire les eaux contaminées et fangeuses du désespoir et de vomir jusqu’à la bile les mystifications, les actions contestables ainsi que les inactions condamnables, voire criminelles des États vis-à-vis les générations à venir. D’interminables et effroyables conflits et guerres de pouvoir, de territoire pour la mainmise de ressources vitales telles l’eau, la terre, l’énergie et la nourriture se produiront à une échelle planétaire. Les lois du nombre et de la survie des plus forts domineront sans partage les rapports humains et ceux des États anéantissant ainsi toute forme de compassion, de dialogue et de paix. Les sociétés perdront alors leurs précieux repères et des millions de personnes en souffriront et mourront. Quant aux survivantes, elles se retrouveront écorchées dans l’âme, le cœur tailladé en lambeaux de douleur et l’esprit désespéré par la tourmente déchirante des événements et risquant ainsi d’y voir sacrifier une large part de leur dignité et de leur humanité. – Nous sommes d’ailleurs au début de ce stade. –
Jusqu’à présent, nos systèmes d’alarme n’ont pas correctement été activés puisque nous avions délibérément choisi d’en retirer les piles afin d’empêcher un réveil trop brutal … Nous avons préféré à la place jouer à l’autruche avec la biodiversité et nous amuser à la roulette russe avec le climat. Mais à terme, si nous ne parvenons pas à stopper ces stratégies désastreuses de l’extractivisme à outrance, de la surexploitation du vivant, de la croissance sans fin, de l’accumulation compulsive de richesses et de la production de biens non essentiels et surtout sciemment frappés d’obsolescence ; les continents et leurs populations en porteront les profonds stigmates. Notre civilisation poubelle débordante d’illusions dorées et couronnée de son couvercle d’argent pourrait finir par se décomposer et encombrer les vallées de la désolation et les sommets de la misère pour ensuite s’effondrer avec fracas sur elle-même. Ainsi, nous serons donc parvenus en un court siècle et demi seulement à mettre en place les conditions favorables à l’apparition d’un terrible chaos nous propulsant à vitesse grand V au tragique et peut-être irréversible dénouement d’une éventuelle disparition.
Quant à la terre elle-même, notre passage n’évoquera pour elle qu’un bref, mais ô combien pénible épisode de sa grande et formidable aventure. Cependant, avec le temps qui s’écoule inéluctablement dans les espaces interstellaires de l’Univers, elle parviendra, comme elle l’a d’ailleurs toujours fait par le passé, à rétablir un nouvel équilibre afin de demeurer vivante pour des millénaires et poursuivre son périple au sein du singulier concert des planètes. Après tout, Gaïa cette étonnante planète azurine loge dans un coin de la Voie lactée depuis 4,543 milliards d’années et elle n’a jamais vraiment eu besoin de notre secours afin de poursuivre son évolution et survivre aux dangers. Hélas, nous n’avons jamais cessé de la surexploiter et d’abuser outrageusement d’elle, tout en bénéficiant des innombrables bienfaits dont elle nous a si généreusement gratifiés jusqu’à maintenant.
Relativement à notre inconduite, nous avons déjà commencé à payer un très lourd tribut et tout ce gâchis, qui aurait pourtant pu et dû être évité ou à tout le moins limité, claironne de jour en jour le prélude de notre agonie. À moins de modifier sans plus tarder nos modes de vie mortifères couplés à nos actions empreintes de réflexions sclérosantes et de tout tenter pour nous extirper des sentiers tortueux de la torpeur et nous débarrasser de nos obsessions mercantiles illusoires. Il nous faudra également faire preuve de bonne volonté afin d’endiguer nos vagues d’écoanxiété et ouvrir pleinement les volets de notre raison pour y laisser entrer des fragments de lumière salvatrice et oxygéner nos cœurs pour saisir le jour et protéger le souffle du vivant foisonnant dans nos multiples et complexes environnements. Et qu’en plus, nous balancions aux ordures les amoncèlements nauséabonds de supercheries composées de recettes improvisées – non biodégradables –, de solutions provisoires dites durables, mais qui s’avèrent en fait des bombes à retardement pour l’environnement ou des leurres anesthésiants aux factices couleurs verdoyantes à l’image de notre aveuglante et vrombissante ambition de remplacer 1,4 milliard de véhicules à moteur en circulation dans le monde par 1,4 milliard de gros VUS électriques alimentés aux piles au lithium. – Il n’y a pas de meilleure façon de jouer à pile ou face avec notre destin … – Ultimement, que nous décrétions le passage à la caisse, et non à tabac …, des États producteurs d’énergie fossile et des grandes entreprises pétrolières dégoulinantes de profits faramineux. Mais également, les tenant-e-s de l’évitement et de l’évasion fiscales ainsi que les 2 686 milliardaires qui parasitent le palmarès de la planète Forbes manifestant une certaine gloriole teintée d’indécente arrogance et trônant sans aucune honte sur leur fortune scandaleusement démesurée estimée à 14 000 milliards de dollars, en 2024, et en osant même pousser le bouchon jusqu’à nous faire la leçon.
– Pensons aux toquades et aux stepettes d’un Elon Musk qui vaut depuis peu 440 milliards de dollars et qui vient de se payer un président avec ses 270 millions de dollars de contribution et d’hériter du rôle de « désosseur » de l’appareil gouvernemental américain …
– Ainsi, en s’inspirant de la seconde guerre mondiale, nous désignerons cette mesure de « ponction salutaire » et non consensuelle sous l’appellation OPEG : « opération effort de guerre ». Au final, pour souligner cette campagne historique dans les annales de la duperie après avoir réussi à épingler tout ce « bon monde », au jour venu de la Tanksgiving, on épinglera sur leur Macdodue poitrine de dindon patriotique une mirifique médaille gratuite et en authentique toc soulignant leurs services obligatoires rendus à l’humanité et portant l’inscription : « In rich we don’t trust ».
Nous aurons le devoir suprême de protéger la biodiversité et l’environnement ainsi que de poursuivre la lutte avec courage et détermination pour la sauvegarde des territoires afin d’épargner de la destruction les réalisations millénaires et les mirifiques beautés du monde actuel symbolisant tout l’amour et le génie d’environ 7 000 générations d’humains ; à savoir notre attachement individuel et collectif à notre patrimoine tant immobilier, mobilier qu’immatériel. Nous devrons également reconquérir nos territoires intérieurs dévastés par les torrents lénifiants de l’individualisme et corrompus par l’avidité et la cupidité afin d’y redécouvrir nos valeurs universelles abandonnées sur le bas-côté de l’humanité. Ainsi, nous devrons faire preuve de plus de justice et de sagesse, d’entraide et d’empathie, de tolérance, de partage de nos savoirs et de nos richesses, de solidarité accompagnée du devoir de loyauté les uns envers les autres et surtout du respect et de la protection des droits et libertés et osons l’espérer : de fraternité et d’amour. Finalement, face aux ouragans de plus en plus dévastateurs qui érodent et minent les côtes des continents ainsi qu’aux dévastations qui s’en suivent, submergeant nos cités, incendiant nos forêts et nos terres, nous devrons impérativement former une nouvelle Alliance durable, légitime et souveraine entre les États à l’image d’un nouvel Arche – nOé-NUsien – afin de sauvegarder tout ce qui doit et peut l’être encore.
L’humanité ne doit pas se laisser mystifier et aveugler par des « shows de boucane » et s’engager à l’aveugle dans des sorties de crise à la Dunkerque. Elle doit plutôt combattre ses démons intérieurs et vaincre ses servitudes, surtout celle de l’obsession de l’argent. Elle doit éviter de sombrer dans des réalités virtuelles bichonnées et tronquées de surcroît par l’IA, d’abandonner sa conscience et de se prendre les pouces dans les mailles mercantiles et tentaculaires des médias sociaux qui font souvent office de moulins à broyer la réalité pour en extraire de l’anxiété et de la désinformation en ligne. Nous ne devons nullement craindre d’inscrire la contestation à la source de nos idéaux, faire preuve de résistance face aux répressions et ultimement semer à tout vent les germes de l’espoir et les semences de l’espérance afin d’engendrer un monde nouveau et inclusif dans lequel tous et toutes auront non seulement le droit, mais aussi la possibilité de rêver la vie et même de créer leur propre vie. Un monde dans lequel la notion de « Droit au bonheur » serait enchâssée dans toutes les Chartes et les Constitutions. Nous devons nous attaquer aux inégalités sociales qui ne cessent de s’accentuer, mieux répartir les richesses et donner de l’espoir de vie, de l’oxygène de courage et la parole salvatrice aux peuples de la terre.
Il nous faut marcher vers la libération en ancrant l’être humain et principalement les enfants et les jeunes au centre même de l’existence et de nos aspirations. Modifier nos paradigmes décisionnels à courte vue en invitant la sagesse, les sciences et l’imagination à siéger au sein des arcanes du pouvoir pour y assiéger les seigneurs et les vassaux du capital avec leurs diktats arbitraires, bannir les enfirouapeur-e-s parachuté-e-s par les think tanks de tout acabit et maintenir en enclos les hordes galopantes et tonitruantes de lobbystes brandisseur-e-s d’épouvantails. Il nous faudra débusquer, puis pousser jusqu’au bas des marches du temple de la vie ces peddlers chimériques bardés de leurs attirails économiques, financiers et technocratiques, fourbis de leurs tirailleries militaires et enferrés dans leurs tiraillements idéologiques et religieux et qui nous ont habilement piégés jusqu’à maintenant par leurs fumisteries institutionnalisées et conduits tout droit et à nos frais jusqu’aux portes enflammées de l’Apocalypse.
Nous devons prendre la mesure de l’ampleur du péril car la situation planétaire n’a jamais été aussi critique. L’humanité court à sa perte puisqu’elle est en voie d’atteindre les points de bascule du non-retour. La cible de l’Accord de Paris vient d’ailleurs de fondre sous les rayons de l’indolence puisque l’observateur Copernicus nous apprend que le mois de novembre 2024 aura été le 16e des 17 derniers mois avec une température moyenne dépassant de plus de 1,5 °C de celle de la période préindustrielle et que nous nous acheminons vers une hausse d’au moins 2,6 °C. Nous assisterons alors à l’anéantissement de notre luxuriante biodiversité pendant que de terribles perturbations climatiques frapperont de plus en plus violemment aux portes de tous les continents et aux fenêtres de nos vies en n’épargnant rien ni personne. Pour nous et les générations futures, c’est tout comme si l’humanité venait de souscrire à l’aveugle un abonnement au chaos, à la destruction et aux souffrances et que celui-ci ne comportait malheureusement aucunes balises et date de terminaison.
Le temps qui nous incombe ne nous laisse guère d’alternative ; les glaciers millénaires s’évanouissent, le ciel et les océans se gonflent de colère, le pergélisol dégèle, la terre sombre inexorablement dans les inondations, les sécheresses – selon l’ONU, les trois quarts des terres mondiales sont plus sèches qu’il y a 30 ans – et les incendies et l’humanité s’effondre en agonisant de chaleur et de froid, de faim et de soif, de maladie, de conflits et d’injustice. Ainsi, après 2,8 millions d’années d’évolution et 300,000 ans après l’apparition de l’Homo sapiens, nous sommes malheureusement parvenus à cette croisée des chemins où nous devons réaliser que la programmation de l’obsolescence planétaire et le décompte de l’extinction définitive du Genre humain sont bel et bien amorcés et il n’appartient plus qu’à nous de les dégoupiller. Pour cela, tous les États doivent impérativement mettre fin à la convoitise, à la haine et aux guerres pour véritablement s’unir dans le dialogue, le respect et la paix afin de livrer l’ultime combat pour la suite du monde et à la gloire des humains ! Nous avons une obligation ultime de résultat et devons absolument nous convaincre que tout est possible et qu’ensemble, mais ensemble seulement, nous pouvons y parvenir.
« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse. » Albert Camus
Ainsi, en plus du péril nucléaire planétaire dont faisait référence Camus lors dans son discours de réception du Prix Nobel de littérature, le 10 décembre 1957, nous sommes maintenant confrontés à un second et gravissime péril, soit celui du péril climatique. Malheureusement, je serais même tenté d’en ajouter un troisième à la liste, soit l’arrivée d’une nouvelle présidence américaine qui n’augure rien de bon, mais absolument rien de bon pour l’avancement de nos luttes vers un meilleur monde … En terminant, prenons acte que ce n’est assurément pas en laissant les ultra-riches implanter leurs petits pénates pantouflards sur le sol de la Planète rouge que nous sauverons les peuples qui veulent continuer de vivre dignement et en harmonie sur notre unique et extraordinaire véhicule céleste.
Gaétan Roberge, Père de deux filles, d’un petit-fils et citoyen du monde - Décembre 2024
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