Marc Lafrance est connu chez les écologistes, comme on préfère nous appeler pour nous marginaliser, comme quelqu’un de cœur, qui a mis beaucoup de temps à défendre son coin de pays et qui ne peut accepter ce qui nous renverse tous : l’obligation de, non-seulement accepter de mettre à risque le bien commun, mais en plus de vivre l’humiliation de se voir devenir des obstacles à ce qui, au fond, n’a aucun sens.
Le développement des hydrocarbures est dénoncé à travers le monde vu l’état de notre planète qui voit ses ressources naturelles s’épuiser et les gaz à effet de serre nous menacer. Dans un tel contexte, les gens qui se lèvent pour protéger ce qui reste, ne sont pas à condamner mais à écouter. Juste l’emprise et la proximité de certains intérêts financiers d’avec ceux que nous avons élus de façon démocratique comparativement au peu de respect et de considération que nous avons, nous, est à décrier.
C’est sans avocat, sans argent, sans ressources humaines suffisantes que nous nous retrouvons confrontés à nos milieux respectifs qui, souvent, au lieu de nous soutenir, se cachent ou tentent de dénier la vérité,des fois que ce serait plus rentable ainsi ou favoriserait un parti plutôt qu’un autre.
Lise Chartrand, présidente
Tel que trouvé sur la page Facebook du groupe public Ensemble Pour L’Avenir durable du Grand Gaspé.