« J’en appelle à tous les élus pour s’attaquer de front aux aberrations et situations inacceptables qu’aucun Canadien et Canadienne n’accepterait, comme par exemple avoir accès à de l’eau potable ou encore, offrir des services à nos enfants et nos familles sans discrimination. Il est temps de faire cesser une fois pour toutes ces violations sans devoir se battre devant les tribunaux pour faire respecter les droits fondamentaux de la personne », a déclaré le Chef de l’APNQL.
L’APNQL insiste également sur une reconnaissance pleine et entière des titres et droits inhérents ancestraux et issus de traités de toutes les Premières Nations. En outre, l’adoption d’une législation visant la mise en œuvre de la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones demeure à l’avant-plan des attentes, à la lumière de l’engagement pris par Justin Trudeau pour un codéveloppement, d’ici la fin 2020.
« Le temps nous le dira, mais la question se pose : aura-t-il fallu un gouvernement minoritaire pour orchestrer une véritable réconciliation et engendrer des solutions viables basées sur le respect de nos droits et de nos besoins fondamentaux ? L’histoire est à suivre et l’APNQL surveillera étroitement ce gouvernement », a conclu Ghislain Picard.
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