Le tracé a une dimension insuffisante et une superficie d’environ 35 km2 (enclavée en terre privée).Ceci produit un îlot dans une zone de carence d’aire protégée. Le ‘claim’ va sous le lac ; ce qui amène à dire que c’est une mine à ciel ouvert exploitée avec des explosifs et une forte présence d’uranium comme le démontre la carte suivante.
Sur le site web de la mine, toutes les présences d’uranium ont été falsifiées comme sur cette carte.
Voici le lien internet : https://www.sayonaquebec.com/wpcontent/uploads/2019/02/carte_geologie.pdf
Historiquement, le réseau des Outaouais qui abreuve la région de Montréal a été parcouru par de grands Chef amérindiens et les premiers explorateurs européens.
Tous ces sites n’ont jamais été cartographiés archéologiquement, ce qui est une injustice pour notre mémoire collective.
La compagnie ‘Sayona Mining LTD’ dit que son exploitation sera sous la barre des 2000 tonnes de minerais par jour à Authier. Où sera traité le minerai du gisement Tansim ?
Voici les solutions qui seraient envisageables pour prévenir cette appropriation des ressources :
Premièrement, il serait possible de joindre la superficie de l’aire protégée de la Morained’Harricana en protégeant les vielles forêts cartographiées sur le site Tansim, sur l’ile Bryson et sa pointe en étude finale pour 2020, et sur l’aire protégée Kakinwawigak.
Je suggère également de faire une cartographie archéologique des sites d’intérêt.
Également, il serait intéressant de nationaliser la ressource et le recyclage du lithium. Aussi, il pourrait y avoir un moratoire sur l’uranium en tête des grands bassins versant.
On pourrait également utiliser l’hydroélectricité pour offrir des serveurs de données nationalisées indépendantes et sécuritaires.« Sous le modèle actuel de mondialisation, tout est à vendre. Les zones autrefois considérées comme notre patrimoine commun sont « marchandisées », commercialisées et privatisées à un rythme alarmant. Aujourd’hui, plus que jamais, les cibles de cette agression comprennent les blocs constitutifs de la vie comme nous la connaissons sur cette planète, notamment l’eau douce, le génome humain, les semences et variétés de plantes, l’air et l’atmosphère, les océans et l’espace extra-atmosphérique. La défense de ces richesses communes est l’une des grandes luttes idéologiques et sociales de notre temps. »
— Maude Barlow, Discours d’acceptation du prix Nobel alternatif 9 décembre 2005
Voici des liens internet portant sur le sujet :
Je suis un caribou forestier !
caribouforestier@outlook.com
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