Et il n’y a pas que les frais de scolarité qui augmentent. Les établissements d’enseignement réclament aussi plus de frais « accessoires » ou « afférents », qui sont théoriquement destinés à couvrir des choses comme les services de santé, les activités sportives, les associations étudiantes et même, dans certains cas, la collation des grades.
Le présent document d’information s’intéresse aux conséquences de ces changements pour les étudiants et les diplômés, notamment l’endettement étudiant.
Pour en savoir plus, visitez le scfp.ca/ilesttempsdagir
Il est temps d’agir : campagne sur l’éducation mpostsecondaire.
Après des années de sous-financement gouvernemental, l’accès à une éducation postsecondaire de qualité est menacé.
Voilà pourquoi il est temps d’agir.
Les transferts fédéraux pour l’éducation postsecondaire sont près de 40 pour cent moins élevés par étudiant qu’il y a vingt-cinq ans. Il y a trente ans, les universités recevaient plus de 80 pour cent de leurs recettes d’exploitation de la part des gouvernements. Aujourd’hui, le financement gouvernemental est passé à peine à 50 pour cent.
Les frais de scolarité dans les universités canadiennes ont été trois fois plus élevés que le taux d’inflation depuis 1990. Au cours de la même période, la dette étudiante moyenne a augmenté de 40 pour cent, tandis que les salaires réels moyens ont stagné.
Plus de la moitié des cours universitaires de premier cycle en Ontario sont maintenant enseignés par des professeurs contractuels, tandis que la moitié de tous les travailleurs postsecondaires en Ontario font face à des éléments de précarité dans leur travail.
Il est temps que le gouvernement fédéral devienne un véritable partenaire en éducation postsecondaire.
Voyez ce qui peut être fait et découvrez ce que vous pouvez faire pour y remédier.
Pour plus d’informations, contactez postsecondaire@scfp.ca
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