Le 5 décembre a donc rassemblé des militantes et militants des groupes populaires, des groupes de femmes, et du mouvement syndical.
La manif est partie du parvis de l’Église St-Jean-Baptiste, lieu symbolique vu la fermeture de l’église. Le premier arrêt a permis de faire le point sur la journée de grève tenue par le mouvement communautaire le 2 décembre. L’indexation des subventions demeure encore le point crucial des revendications des différents groupes en services ou en défense de droits.
Le deuxième arrêt a porté sur la loi 70 contre les personnes assistées sociales. Le gouvernement enrichit Bombardier mais coupe les gens en besoin. Des vérifications des plans d’interventions, des recherches, tout un encadrement pour recevoir de l’aide sociale alors que les personnes sont en besoin extrême.
Le troisième arrêt a permis de rappeler que la lutte du secteur public n’est pas terminée. Le gouvernement Couillard n’entend pas indexer les salaires en santé, en éducation et dans la fonction publique et remet en question des droits acquis sur la retraite de ses employé.es. Une bonne rémunération du personnel est un gage de service de qualité en santé et en éducation.
Finalement, la manif s’est disloquée au le Parc de l’Université dans St-Roch.
Ginette lewis