À court terme, les défis sont nombreux, comme c’était le cas lorsque nos grands barrages hydroélectriques n’étaient qu’un projet fou visant l’indépendance énergétique du Québec. À moyen terme, l’éolien est une source d’énergie propre prometteuse et représente déjà un atout majeur dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) pour plusieurs États dans le monde. Le développement de l’expertise québécoise dans le domaine ainsi que les marchés potentiels d’exportation sont des opportunités économiques significatives.
« Nous applaudissons la vision et l’audace dont fait preuve M. Arcand face au développement de cette filière prometteuse et l’opportunité économique que représente nos surplus actuels. Ces surplus sont en fait une occasion à saisir pour l’électrification des transports, pour encourager le verdissement de notre base industrielle ainsi que le développement de nos marchés d’exportation comme l’Ontario et la Nouvelle-Angleterre » déclare André Bélisle, président de l’AQLPA.