« Cette journée nous tient à cœur, car il reste encore du chemin à faire pour que nous soyons pleinement intégrés à l’UQO. Par exemple, nous n’avons pas de sièges garantis dans les différentes assemblées départementales », a soutenu Marie-Josée Bourget, présidente du SCCC-UQO.
Toutefois, le SCCC-UQO appui sans réserve le mouvement pour la rémunération des stages. Pour le Syndicat, tout travail doit être rémunéré. « Nous sommes, entre autres, très sensibles à l’argumentaire voulant que les domaines historiquement masculins ont des stages rémunérés, alors ceux féminins n’en ont pas », a ajouté Madame Bourget.
Le SCCC-UQO a été fondé en 1992 et compte près de 700 membres, dont le tiers enseigne au campus de Saint-Jérôme. Environ 70 % des cours de premier cycle sont offerts par des personnes chargées de cours.
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