Conclusion 1 : Parmi les coûts socioécologiques non-escomptés, il y a le coût « d’opportunité environnemental » de l’usage de l’hydro-électricité et du territoire.
L’usine de GNL consommerait à elle seule en électricité le tiers de la production annuelle de la Romaine (550 MW sur 1500 MW) et ce pour aider les extracteurs d’énergie fossile de l’ouest du Canada à exporter leur production en refroidissant, comprimant et transbordant du gaz issu de fracturation.
Chaque KW propre générée au Québec est précieuse dans un contexte de transition énergétique et devrait faire l’objet d’une allocation optimale du point de vue environnemental et économique. Le projet GNLQ ne répond à aucun des deux critères.
Conclusion 2 : Le projet comporte d’importants risques de marché qui ne concernent pas uniquement le promoteur mais l’ensemble de la société québécoise.
Il faut éviter de financer un autre infrastructure industrielle déficitaire et peu structurante pour la transition à venir. En plus, de laisser une trace indélébile sur le territoire.
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