Forcé d’essuyer cette honte qui souille l’institution catholique, c’est dans l’affliction que le pape François 1e a présenté ses excuses pour les crimes commis contre les autochtones canadiens des pensionnats. Face à ce lourd fardeau du passé, le pape François 1e exhorte les souverains pontifes à « promouvoir la guérison des blessures et la réconciliation ». Il est malheureux de voir que tourner la page sur un chapitre aussi sombre de notre histoire se révèle être un exercice plus ardu d’un François à l’autre.
Le premier ministre du Québec, François Legault, a déclaré en septembre dernier qu’un jour férié en commémoration aux victimes des pensionnats autochtones ne serait pas souhaitable pour des raisons, dit-il, de « productivité ».
– Adil Fahmi.
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