« En déclarant qu’il veut prendre plus de temps pour réfléchir avant de chambarder les structures scolaires, le ministre prend la bonne décision et va dans le sens de ce que la CSQ demande depuis plusieurs mois. En effet, c’est faire preuve de respect envers un réseau mobilisé et engagé pour la réussite des jeunes », commente Louise Chabot.
Une consultation, ça presse !
La présidente rappelle qu’elle a toujours affirmé qu’il n’y avait pas d’empressement à procéder à un brassage de structures dans le monde scolaire.
« Nous le répétons : pour se doter enfin d’une vision claire de l’éducation et favoriser la réussite éducative du plus grand nombre, le gouvernement doit lancer une vaste consultation avec l’ensemble des intervenants du milieu de l’éducation, qui s’attarde aux réels besoins » conclut Louise Chabot.