À coup de millions de dollars, des intérêts européens et des compagnies albertaines s’échangeraient le droit de fracturer le sous-sol du Québec, de polluer notre eau, de menacer notre santé et celle de nos enfants, de déstabiliser l’économie de nos régions, de détruire nos paysages, de piétiner notre qualité de vie et d’intensifier la crise climatique...
Comme si nous allions les laisser faire !
Il n’en est pas question et nous devons le signifier clairement aux investisseurs éventuels. Le gouvernement Legault, appelé à autoriser ces transactions, doit faire de même. Loin d’approuver la cession des droits sur des centaines de milliers d’acres, il doit saisir cette occasion pour libérer au moins cette partie du territoire des pétrolières et gazières qui tentent de s’y incruster depuis 10 ans par tous les moyens, au mépris de la raison et de la volonté la population.
Cette étrange partie de Monopoly ne vous amuse pas, vous non plus ? Je vous invite à prendre connaissance des faits décrits brièvement ci-dessous. Vous trouverez, à la suite, deux manières de contribuer à sortir les capitaux pétroliers et gaziers du Québec en 1 temps, 2 mouvements.
Irène Dupuis, présidente
Lotbinière en transition
Saint-Antoine-de-Tilly - Milieu de vie
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