Les négociations sont au point neutre depuis un moment, malgré le fait que les parties ont eu recourt aux services d’une conciliatrice à partir du 8 juillet. Le syndicat a déposé une offre à l’employeur le 13 juillet. « Nous avons fait une offre à l’employeur lundi, qui est demeuré sans réponse. Nous sommes toujours prêts à négocier, mais l’employeur a plutôt choisi la voie du lock-out », explique Cédric Vallerand, conseiller syndical à la CSD.
Les relations de travail avec l’employeur sont tendues notamment sur la durée de la convention collective, les vacances, le recours à la sous-traitance et le mouvement de la main-d’œuvre. Parmalat n’en est pas à son premier conflit à son usine de Victoriaville. L’entreprise avait également mis ses employés en lock-out également en 2004.
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