On se trompe lourdement en misant sur la guerre plutôt que sur l’éducation, la santé et de généreux et durables programmes publics d’aide internationale.
L’ambiance morbide des bulletins de nouvelles nous présente un monde et un Canada qui déraillent. Comment vouloir encore longtemps être de ce pays ?
L’occupation de l’Afghanistan rongera la réputation internationale du Canada et laissera apparaître au grand jour la piètre capacité des conservateurs de défendre l’indépendance de ce pays troublé par une propagande de guerre indigeste. Nous sommes devant un gouvernement de lâches soumis aux impératifs des marchands de canons : rien de vraiment apte à "conquérir le Québec".
De pays, j’en ai déjà un qui émerge et où je pourrai mieux faire valoir que ces guerres de brigandage ont assez duré, leur nécessité étant remplacée par une authentique et autrement plus efficace solidarité de tous les peuples meurtris.