« Les demandes de l’employeur sont insultantes. Par exemple, l’employeur ne veut plus payer sa moitié des primes d’assurances collectives et veut enlever la sécurité d’emploi aux travailleurs même si ça ne coûte rien aux citoyens, ce qui ne permet pas d’économiser parce que quelqu’un doit toujours faire le travail. Quel est le but ? », de demander Nina Laflamme, conseillère syndicale du SCFP.
Les pourparlers en vue du renouvellement de la convention collective ont débuté en septembre 2014. Six mois plus tard, seules les questions de processus administratifs sont réglées.
« Nous avons laissé tomber plusieurs demandes, nous comprenons la difficile situation financière de la Ville, par contre, ces problèmes ne doivent pas être réglés sur le dos des travailleurs. Et on va le dire haut et fort ce 1 mai », de conclure Nina Laflamme.