« Québec solidaire a mené une campagne de terrain, sans les moyens des vieux partis et sans couverture médiatique équitable. Sur un terrain difficile, celui de la Capitale-Nationale, nous avons maintenu nos appuis de 2014. En arrière-scène, nous avons regroupé une nouvelle équipe pleine d’énergie. D’ici la prochaine élection générale, nous redoublerons d’efforts pour aller à la rencontre des gens de la région.
Le Parti libéral ne devrait pas pavaner. Le taux de participation anémique montre que la population ne se retrouve pas chez les vieux partis. Une majorité d’électeurs a rejeté l’austérité libérale. Encore une fois, notre mode de scrutin est un cul-de-sac qui empêche trop de gens de s’exprimer sur leur avenir. Pour nous, le signal est clair. Il faut qu’on se retrousse les manches ! » a déclaré Mme Massé.
Pour Amélie Boisvert, la campagne a donné une nouvelle tribune aux idées de Québec solidaire. « Les Québécoises et les Québécois n’ont pas encore été frappés par l’austérité libérale. C’est les compressions tout de suite, les impacts plus tard ! Même nos enfants écopent dès l’entrée à l’école primaire. Les vieux partis mettent en péril notre bien commun. Les gens ont soif d’une nouvelle culture politique qui place les citoyens au cœur du processus de décision. Nous allons continuer de les soutenir. En 2018, nous serons là pour porter la voix des familles et des gens ordinaires à l’Assemblée nationale. »
Dans Chauveau, Marjolaine Bouchard a mené une campagne de terrain. « C’était ma première campagne, et j’ai beaucoup appris en discutant avec les citoyens de Chauveau. Nous avons parlé de la sauvegarde des réserves d’eau potable de Québec. Nous avons parlé de l’importance de l’école publique et du gaspillage scandaleux de l’argent des contribuables dans le secteur des médicaments et de l’informatique. Notre défi, c’est de porter ce message partout dans la région de la Capitale-Nationale. »