« Au moment où la STM renonce au service d’autobus « 10 minutes max », elle renonce aussi à une importante part de financement du service du transport en commun. Depuis plusieurs années, des défectuosités des boîtes de perception automatisée et valideurs sont constatées. Les retards dans les réparations sont de plus en plus fréquents et les conséquences financières sont énormes », de dénoncer Pino Tagliaferri, président du syndicat SCFP 1983.
Le chauffeurs signalent les pannes à la STM, mais le syndicat réalise que la société de transport n’est pas à l’écoute de ces informations qui lui sont rapportées et qu’elles ne sont pas une priorité pour elle. Pourtant, ils sont les mieux placés pour connaître les différents problèmes qui se produisent au quotidien sur le terrain.
« La STM se prive volontairement de revenus, ce qui est inacceptable. La situation actuelle est le résultat des lacunes dans la gestion quotidienne de la STM », de conclure le président du syndicat.
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