LAVAL, QC, le 29 sept. 2015« Ce projet représente un risque pour la sécurité des citoyens de Laval, qui n’ont rien à gagner et tout à perdre à voir leurs rivières et leurs terres menacées par cette infrastructure, dans laquelle des centaines de milliers de barils de pétrole s’écouleront chaque jour », a déclaré le maire Demers.
Le maire de Laval a d’ailleurs profité de la présentation du mémoire pour réitérer la position de la Ville de Laval : « Je pense que les gouvernements auraient intérêt à favoriser une transition immédiate vers des sources d’énergie viable comme l’électricité, l’éolien et le solaire. C’est un objectif de ce genre, orienté sur des principes de développement durable, qui représente la vraie solution au problème et qui nous libérera graduellement de notre dépendance au pétrole », a-t-il affirmé.
Les Lavallois enregistrent leur opposition
En marge de la consultation publique, plus de 3 000 signataires lavallois ont également manifesté leur opposition en signant la pétition en ligne d’Équiterre. Mentionnons que le 23 septembre dernier, Équiterre a remis aux chefs en campagne électorale fédérale la pétition signée par près de 90 000 citoyens québécois.
Rappelons que cette initiative s’inscrit dans la foulée d’un pipeline de transport pétrolier qui, selon les plans à l’étude, traverserait l’île Jésus dans sa partie est, en plus des deux rivières qui bordent Laval - des Mille Îles et des Prairies -, la zone agricole et deux quartiers résidentiels, l’un au nord et l’autre au sud.
Lire le mémoire de la Ville de Laval - C’est aux côtés du maire Marc Demers et du réputé cardiologue François Reeves que se sont ralliés de nombreux citoyens lavallois pour exprimer leur désaccord quant au projet d’oléoduc Énergie Est de TransCanada. Cet appui important de la collectivité fait suite à l’appel lancé par le maire Demers à venir s’exprimer lors de la 5e consultation publique de la Commission de l’environnement de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et à adhérer au mouvement d’opposition de la Ville de Laval.
« Ce projet représente un risque pour la sécurité des citoyens de Laval, qui n’ont rien à gagner et tout à perdre à voir leurs rivières et leurs terres menacées par cette infrastructure, dans laquelle des centaines de milliers de barils de pétrole s’écouleront chaque jour », a déclaré le maire Demers.
Le maire de Laval a d’ailleurs profité de la présentation du mémoire pour réitérer la position de la Ville de Laval : « Je pense que les gouvernements auraient intérêt à favoriser une transition immédiate vers des sources d’énergie viable comme l’électricité, l’éolien et le solaire. C’est un objectif de ce genre, orienté sur des principes de développement durable, qui représente la vraie solution au problème et qui nous libérera graduellement de notre dépendance au pétrole », a-t-il affirmé.
Les Lavallois enregistrent leur opposition
En marge de la consultation publique, plus de 3 000 signataires lavallois ont également manifesté leur opposition en signant la pétition en ligne d’Équiterre. Mentionnons que le 23 septembre dernier, Équiterre a remis aux chefs en campagne électorale fédérale la pétition signée par près de 90 000 citoyens québécois.
Rappelons que cette initiative s’inscrit dans la foulée d’un pipeline de transport pétrolier qui, selon les plans à l’étude, traverserait l’île Jésus dans sa partie est, en plus des deux rivières qui bordent Laval - des Mille Îles et des Prairies -, la zone agricole et deux quartiers résidentiels, l’un au nord et l’autre au sud.
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