Pas de casseurs, pas de vingt heures
Après l’acte XVIII des gilets jaunes, les journaux français se sont étonnés que le mouvement soit monté d’un cran dans ce qu’ils qualifient « d’inacceptables violences gratuites ». Du coté des manifestants, on trouve ça plutôt logique car, comme le dit le dicton « pas de casseurs, pas de 20 (…)