D’abord, le syndicat déplore que monsieur Jonathan Leclerc ne croit « pas du tout qu’il y ait eu des signatures falsifiées ». Pourtant, la décision du CCRI est claire sur le sujet. Pour le syndicat, il s’agit d’une attaque gratuite et d’une remise en question injustifiée du CCRI, un tribunal et une organisation qui jouit d’une excellente réputation et d’une très grande probité. Remettre en question la qualité de ses enquêtes est de nature à porter indûment atteinte à la considération dont jouit l’administration de la justice au Canada.
Ensuite, laisser sous-entendre, comme l’a fait monsieur Leclerc à diverses occasions, que le syndicat ait un rapport quelconque avec les actes qui sont reprochés à monsieur Leclerc par le CCRI est loufoque. Il est en effet impensable que le syndicat ait lui-même provoqué des démissions de son syndicat participant ainsi à sa propre révocation ! Ce que soutient monsieur Leclerc est tout simplement insensé.
Enfin, et suite aux nombreux appels reçus, le syndicat analyse actuellement ses options concernant toutes les actions de monsieur Leclerc et de son équipe. Celles-ci seront dévoilées en temps opportun, le cas échéant.
La section locale 434 du SEPB-Québec, qui regroupe environ mille trois cent (1300) membres, est affiliée à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), la plus grande centrale syndicale au Québec.
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