« L’employeur est incapable d’obtenir du gouvernement Legault les sommes nécessaires pour faire débloquer les négociations qui piétinent. Après plus de deux ans et demi de négociation, la patience de nos membres a atteint ses limites. Les travailleuses et les travailleurs de l’École nationale de police réclament simplement des conditions de travail équitables qui tiennent compte de la réalité du marché du travail, de l’inflation et de la pénurie de main-d’œuvre. Nos membres sont prêts aller jusqu’au bout pour obtenir un salaire décent » indique Frédérick Dagenais, président régional du SFPQ.
Le contrat de travail des quelque 400 travailleuses et travailleurs à l’ENPQ, représentés par le SFPQ, est échu depuis le 31 mars 2020. Le SFPQ représente les personnes comédiennes, instructrices et œuvrant dans les cuisines ainsi que différents emplois administratifs.
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