Or, la gestion durable de l’eau au Québec repose sur une approche intégrée et participative qui ne peut être mise en œuvre de manière efficace sans l’accès aux données sur l’état des ressources en eau.
Pourquoi la situation actuelle est-elle inacceptable ?
– parce que les intérêts commerciaux privés sont priorisés au détriment du droit du public de s’informer des impacts sur l’eau et de l’état de cette richesse collective
– parce que le public est ainsi empêché de connaître les réels effets cumulatifs de ces prélèvements
– parce que sans une gestion intégrée et participative de notre ressource hydrique, l’accès à l’eau potable dans l’avenir peut être menacé.
L’État a le pouvoir de lever le secret commercial en modifiant le cadre juridique. Demandons-lui de le faire sans plus tarder !
Ce courriel vous permettra d’interpeller le Premier ministre, le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ainsi que les chef·fes d’opposition et votre député·e.
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