Pour nous, ces annonces constituent la suite de l’entreprise de démolition des services publics.
Après les nombreuses abolitions de postes et la déréglementation de différents ministères (rappelons-nous du transport et du Lac-Mégantic), le gouvernement conservateur maintient la ligne dure et construit un pays à son image, au sein duquel la démocratie parlementaire n’existe plus.
Tout comme chez Postes Canada, nous remarquons que le Québec est particulièrement touché, puisque près de la moitié des coupures se feront dans les services francophones.
Nous sommes inquiets car la télévision publique doit continuer à fournir de l’information de qualité et permettre de favoriser la culture canadienne et québécoise.
Nous attendons avec impatience le prochain rendez-vous électoral prévu le 19 octobre 2015 et dans le cadre de cet exercice, nous saurons nous exprimer.