La Coalition salue ce choix gouvernemental et s’engage quotidiennement pour favoriser l’inclusion de tous et toutes, dans une économie plus juste et solidaire et dans une société qui offre une qualité de vie à ses citoyennes et citoyens, grâce à des mesures sociales qui garantissent le droit à la formation et à l’emploi. Miser sur le potentiel de toutes les personnes est l’option qui s’avère la plus judicieuse, surtout dans un contexte de rareté de main-d’œuvre.
Les démarches entreprises en ce sens doivent impérativement être poursuivies et consolidées, afin de réduire les dépenses substantielles engendrées par la précarité dans laquelle vivent trop de gens actuellement. Les coûts sociaux liés aux conséquences multiples de la pauvreté sont indéniables, mais ils sont réductibles.
Comme le présente le rapport Le sens des sous pour résoudre la pauvreté, produit en 2011 par le Conseil national du bien-être social, « les coûts et les conséquences de la pauvreté sont beaucoup plus importants que les dépenses directes effectuées à l’égard des programmes de lutte contre la pauvreté. » La prévention est moins dispendieuse et surtout, elle se révèle efficace pour contrer ce phénomène qui nous concerne collectivement.
Rappelons que la solidarité est une valeur fondamentale que le gouvernement a mise de l’avant dans sa plateforme électorale. De fait, il entendait assurer la justice économique et défendre vigoureusement les Québécois les moins fortunés de notre société. Les organismes communautaires dédiés au développement de la main-d’œuvre sont toujours prêts à offrir des services de qualité à la population, pourvu qu’une volonté politique soutienne leurs actions.