Par ailleurs, pour Caroline Senneville, il apparaît primordial que les partenaires qui œuvrent en enseignement supérieur soient parties prenantes du travail mené par les différents chantiers, qui devront faire des recommandations au gouvernement. « Les chargé-es de cours des universités et les enseignantes et les enseignants de l’ordre collégial ont certainement leur mot à dire sur les questions importantes qui seront l’objet des discussions. Nous avons des recommandations à faire valoir, des orientations et des pistes de solution quant à divers enjeux. »
« Nous pensons, entre autres, à la question de l’offre de programmes et aux créneaux régionaux dans les cégeps ainsi qu’à la mise en place d’un Conseil des universités. » En outre, la FNEEQ entend dénoncer et bloquer tous les mécanismes d’assurance-qualité en raison des dérives qu’ils comportent.
En conclusion, la FNEEQ souligne qu’elle a appuyé les associations étudiantes tout au long de leur lutte et qu’elle continuera d’être à leurs côtés.