Tome 1 : D’une légende des Îles-de-la-Madeleine, symptôme d’un passé refoulé, aux fantômes comme reliques de la surproduction culturelle et matérielle des sociétés, du vieillissement de personnes atteintes d’Alzheimer et de maladies apparentées au rap qui utilise la mort de façon ludique en passant par l’examen des rouages colonialistes et racistes des filles qui ont disparu et été assassinées, ce livre ouvre des horizons sur la mémoire, laquelle est au cœur de la transmission entre la vie et la mort.
Tome 2 : L’expérience de la mort se transforme en Occident. Au cours du 20e siècle, au Québec comme ailleurs, la façon dont la mort est vécue a changé : on ne meurt plus à la maison, mais à l’hôpital ; on est de moins en moins embaumé et enterré, mais surtout incinéré ; la mort s’avère de plus en plus un choix de la personne qui se meurt ; et les rites funéraires traditionnels perdent leur sens dans le contexte du déclin religieux. Comment ces changements affectent-ils la transmission des récits de soi entre les générations ?
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