Cette entente, bien qu’offrant quelques progrès sur certains points de litige, comprenait des baisses salariales de près de 30 % pour quelques catégories d’emploi. De plus, elle ne fournit aucune garantie contre les suppressions de postes et les réductions d’heures que l’UQAM met en place depuis les dernières années. Face au mépris de l’administration, le conflit de travail se poursuit. Nous invitons donc le patronat à revenir prestement aux tables de négociations.
Rappelons que le SETUE est sans convention collective depuis près de deux ans et en grève illimitée depuis le 7 décembre. De plus, il ne peut y avoir de travail effectué pendant la grève. Une autre assemblée générale se tiendra dans la première semaine de janvier pour statuer sur la suite des moyens de pression.