L’Alliance se félicite du lancement de la Commission Laurent. Il est crucial que l’intérêt de l’enfant soit au centre des décisions, en particulier sa sécurité physique et psychique.
Lorsqu’il y a de la violence conjugale dans la famille l’enfant devient trop souvent un moyen pour les agresseurs de poursuivre leur contrôle sur leurs conjointes, cela caractérise la violence conjugale postséparation.
Les intervenantes des maisons d’hébergement ont analysé l’an dernier que 52% des enfants hébergés en maison de 2e étape ont un dossier de suivi avec la DPJ, et que la moitié de ces dossiers posent des enjeux pour la sécurité de l’enfant. La mère qui protège son enfant se fait accuser d’aliénation parentale parce que la violence conjugale et ses impacts ne sont pas reconnus.
L’Alliance a hâte de porter ces cas à la connaissance de la Commission, et de contribuer à l’amélioration des services aux femmes et enfants victimes de violence conjugale postséparation.
À propos de l’Alliance des maisons de 2e étape du Québec :
L’Alliance regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale postséparation, par l’entremise de logements transitoires sécuritaires.
Un message, un commentaire ?