En plus de faire en sorte que les mieux nantis contribuent davantage au financement de l’état, cette mesure doit permettre à aider à bonifier les investissements sociaux, notamment pour l’accès aux logements, aux soins dentaires, aux services de garde ainsi que pour l’assurance médicaments publique et universelle que le fédéral souhaite mettre en place. Pour la FTQ, il s’agit d’un rattrapage fiscal nécessaire. Il est inconcevable que les plus riches ne puissent contribuer au développement collectif de notre société dont ils profitent que ce soit en soins de santé ou en éducation.
À la FTQ on estime que la ministre des Finances, en faisant passer le taux d’inclusion de 50 % à 66,67 % pour les gains en capital qui dépassent les 250 000 $, répond à un besoin d’équité longtemps réclamé par la centrale syndicale.
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