Une discussion avec les responsables de la ville de Roberval nous a permis d’apprendre qu’une portion importante des déversements d’eaux usées comptabilisés de la Ville était partiellement traitée avant d’être évacuée dans le Lac Saint-Jean. Dans le jargon, il s’agit alors d’une dérivation et non pas d’un déversement d’eaux usées non traitées provenant du réseau d’égouts. L’intensité des déversements par habitant pour Roberval s’en trouve donc réduite et nous avons donc procédé à une mise à jour du palmarès.
« On travaille à partir des données fournies par les villes au ministère de l’Environnement et malheureusement pour Roberval, les données transmises n’étaient pas bien catégorisées », explique André Bélanger, directeur général de Fondation Rivières.
Vous pouvez consulter le palmarès sur le site de Fondation Rivières à fondationrivieres.org.
Un message, un commentaire ?