Le vendredi 29 janvier 2010, la cour suprême du Canada a rendu un jugement sans équivoque. Les droits et libertés de Omar Khadr ont été violés.
Malgré le fait que la cour suprême condamne la violation des droits les plus élémentaires de Omar Khadr, elle précise qu’il ne lui revient pas d’intervenir dans les décisions en matière de diplomatie internationale. Il appartient au gouvernement de prendre une décision quant au sort de Omar Khadr. Mais comme à l’habitude le gouvernement Harper fait la sourde d’oreille.
Visionnez le film : 280 raisons pour rapatrier Omar Khadr paru sur le site d’amnistie internationale.