LUTTONS POUR UN EMPLOI DÉCENT POUR TOUTES ET TOUS ; POUR LA RÉDUCTION DE LA DURÉE ET DE LA CHARGE DE TRAVAIL FINANCÉE PAR UNE FISCALITÉ PROGRESSIVE - Luttons dans nos syndicats et ailleurs !
Depuis plusieurs années, le patronat et les partis politiques saccagent sans impunité nos conditions de vie, de travail et d’emploi ainsi que nos capacités de résister (lock-out, injonction, loi spéciale). Le combat contre les coupes et les hausses tarifaires est NÉCESSAIRE.
Ne consentons plus à leur vol. Refusons les mesures d’austérité qui nous appauvrissent et dégradent nos conditions d’emploi et de vie. L’austérité : une idéologie qui consiste à nous convaincre d’accepter que les personnes qui contribuent au bien-être collectif soient appauvries, tout en payant pour les désastres de l’économie financière et des privatisations. Opposons-nous ! Nous avons tout à y gagner.
L’objectif est d’unir dans une alliance anti-austérité toutes les forces des mouvements syndicaux et sociaux afin de sauver tous les emplois et les services publics. Nous nous engageons à participer à l’organisation d’une telle campagne et à protester contre toutes les attaques desmunicipalités et des gouvernements provincial et fédéral sur nos conditions de vie et de travail.
Offensive syndicale
Un Rassemblement de militant-e-s syndicaux http://offensivesyndicale.net/ Repensons la production et la distribution de la richesse. Commençons par financer les services publics par une fiscalité plus juste et progressive.
Côté salaire : nous refusons de nous appauvrir encore. Côté travail : le travail nous use et nous
exploite. Nous posons la nécessité immédiate de réduire la charge et la durée du travail pour les travailleuses et travailleurs surchargés, et de le redistribuer aux précaires. Nous allons nous réapproprier notre travail et le temps, sans nous appauvrir, nous précariser, nous essouffler.
Assistons à nos instances syndicales et communautaires, ne lâchons rien sur la critique, et amenons des propositions qui nous donnent de la force et ne lésinons pas sur les moyens de pression. Reprenons le rapport de force en notre faveur !