Alors, qui menace qui dans ce monde de faux-fuyants, de mensonges et de désinformation d’État ? Comment garder confiance en ces chefs d’État qui camouflent leurs interventions musclées en guerres préventives contre une pseudo-menace du Tiers-Monde, des pauvres, au nom de la guerre au terrorisme ?
Ne sont-ils pas hantés par la crainte maladive de céder un peu de pouvoir aux damné-e-s de la terre ou de leur rendre partiellement, en annulant leur dette, la richesse qui s’est accumulée à notre pôle dans les mains même de nos plus nantis ?
Et Harper, leur pantin, qui s’en va flatter dans le sens du poil une armée coloniale qui s’accroche et en a encore pour dix ans. Quand elle a occupé le Québec, chanceux-euses que nous sommes, elle n’est restée que quelques semaines.