« Nous sommes satisfaits de cette entente. Les parties, en partenariat, ont procédé à un exercice de rationalisation. Cet exercice a permis de conserver 100 % de la production du Journal de Québec à l’imprimerie de Québec, ce qui n’était pas acquis au début des négociations », d’expliquer Nina Laflamme, conseillère syndicale au SCFP.
L’entente permet la pérennité du Journal de Québec tout en conservant le maximum de production et d’emplois à Québec et ce, dans toutes les unités syndicales. L’entente met par ailleurs en place des mécanismes assurant du contenu d’une qualité toujours plus grande.
Les parties ont créé un comité de travail afin d’étudier et de développer diverses façons de faire pour une meilleure transition du journalisme et de la production d’un journal dans l’univers numérique.
« Au niveau salarial, l’entente de deux ans comprend des augmentations de l’ordre de 1,5 % par année, la bonification de certaines clauses monétaires et l’amélioration de clauses de santé-sécurité », d’ajouter la conseillère syndicale.
Les comités de négociation sont également satisfaits que l’entente assure l’accès des nouveaux employés au régime de retraite actuel, alors que l’employeur était en demande pour implanter un régime de retraite beaucoup moins avantageux pour les nouveaux employés.
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