Édition du 15 avril 2025

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Environnement

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Terminal de granules de bois à l’Anse-au-Foulon : l’envers de la médaille

La construction par la Compagnie d’Arrimage de Québec d’un terminal de
transbordement et d’entreposage de granules de bois à l’Anse-au-Foulon est un mauvais projet, au mauvais endroit et mené de la mauvaise manière : absence de consultation de la population ; étude d’impact environnemental incomplète ; retombées économiques modestes pour la région ; installations à haut risques d’incendies sans plan de mesures d’urgence ; source potentielle de poussière et de gaz toxiques ; argumentaire écologique questionnable et projet en contradiction avec un littoral urbain contribuant
à la qualité de vie des citoyens.

De plus, une grande partie des connaissances sur les modes de manutention et d’entreposage des granules de bois sont récentes et incomplètes. Face à ce constat, il nous semble tout à fait inapproprié de localiser ces installations à proximité de quartiers fortement peuplés.

vigilanceportdequebec.com

Novembre 2013

Le 31 octobre dernier, l’Administration portuaire de Québec (APQ) accordait le feu vert au projet de terminal de granules de bois à être aménagé dans le secteur de l’Anseau-Foulon, sur le boulevard Champlain (Port de Québec, 2013). Par la même occasion, l’APQ diffusait l’étude environnementale présentée par le promoteur, la Compagnie d’Arrimage de Québec (CAQ). Le promoteur soutient que le projet engendrera des retombées économiques importantes pour la région de Québec et que ses effets environnementaux seront de faibles à négligeables. Nous considérons toutefois que certains éléments importants ont été omis de cette évaluation. Le présent document, visant à mettre en lumière certains éléments qui, selon nous, mériteraient d’être considérés, se veut un regard critique sur le projet proposé.

Une étude d’impact environnemental incomplète

Bien que le projet de nouveau terminal ne soit pas assujetti au processus fédéral d’évaluation environnementale (Morin, 2013), l’Agence canadienne d’évaluation environnementale définit clairement les éléments essentiels que devraient contenir une évaluation environnementale et les avantages qui en découlent. Notamment, les éléments suivants auraient dû être inclus dans la démarche du promoteur :
 les effets environnementaux causés par les accidents ou les défaillances ; - les effets environnementaux cumulatifs du projet, combinés à ceux d’autres activités concrètes, passées ou futures ;
 les observations du public ; les programmes de suivi qui vérifient l’exactitude de l’évaluation environnementale et l’efficacité des mesures d’atténuation ;
 . les solutions de rechange réalisables sur les plans technique et économique, et leurs effets environnementaux.

Or l’évaluation environnementale et les détails du projet de nouveau terminal ont été rendus publics après le début des travaux de construction et sans consultation publique, alors que l’évaluation environnementale devrait être effectuée aussitôt que possible au stade de la planification d’un projet. D’autre part, l’évaluation environnementale ne présente aucun détail quant aux programmes de suivi qui permettront de vérifier l’exactitude de l’évaluation environnementale et l’efficacité des mesures d’atténuation. Il n’y a pas plus de détails sur les effets cumulatifs, l’analyse de risques ou le plan de mesures d’urgence. Finalement, aucune solution de rechange n’a été analysée. De manière générale, l’étude aborde brièvement les principaux éléments qui composent une étude environnementale, mais ne donne pas suffisamment de détails techniques pour pouvoir porter un regard éclairé sur les impacts environnementaux potentiels de ce projet et la réelle volonté du promoteur de minimiser ces impacts.

Des retombées économiques modestes pour la région

Le promoteur justifie le projet de nouveau terminal, notamment par des retombées économiques importantes pour la région de Québec. Mises à part les retombées économiques liées aux investissements et à la phase de construction, les documents promotionnels soulignent la création de 116 emplois récurrents (année-personne) dans la phase post-construction. Ces emplois sont en fait une estimation des emplois directs, indirects et induits engendrés par le projet. Concrètement, selon l’étude environnementale, pour la région de Québec la phase d’exploitation devrait créer à peine une dizaine d’emplois chez la CAQ.

Malheureusement, comme à chaque fois qu’il est question de retombées économiques découlant des activités au Port de Québec, l’étude environnementale n’apporte aucune précision sur la ventilation des retombées économiques escomptées. En fait, l’analyse de toutes les études d’impacts économiques des activités du Port de Québec, effectuées entre 1980 et 2007 et présentées sous la loupe des retombées économiques totales (directes, indirectes et induites) du transport maritime des marchandises pour la région de Québec, permet d’affirmer que le transport maritime des marchandises au Port de Québec représente une valeur ajoutée pour la région qui est inférieure à 1 % du produit intérieur brut de la région métropolitaine de recensement de Québec, cette fraction se situant vraisemblablement entre 0,5 % et 1 % (Lacoursière, 2012). La réalité du transbordement de vrac en tant qu’activité à faible valeur ajoutée est bien soulignée dans les études économiques réalisées au cours des dernières années. Une étude de la firme Tecsult souligne que « Le Port de Québec est reconnu comme étant une installation compétitive pour le transport du vrac solide et liquide en raison [...] de la faible intensité en main-d’oeuvre exigée par ces activités. » (Tecsult, 2006). Antérieurement, une autre étude de la firme Pluram pour le compte du Port de Québec abondait dans le même sens (Pluram, 1981). L’étude se penchait sur les répercussions environnementales et économiques d’un projet d’agrandissement portuaire à Beauport de même nature (remblaiement) que celui envisagé aujourd’hui, mais environ 10 fois plus gros (210 hectares). On estimait alors les impacts économiques de l’exploitation de cet agrandissement comme étant mineurs. Tous le disent depuis longtemps : le transbordement de vrac requiert peu de main-d’oeuvre et beaucoup d’espace (Lacoursière, 2012).

Il nous semble pertinent de s’interroger sur les réelles retombées économiques du projet pour la région de Québec, alors que les granules entreposées à Québec seront importées de l’Ontario par une entreprise américaine pour être acheminées en Europe et que les silos seront apparemment, eux aussi, fournis par une entreprise étrangère. De plus, les coûts sociaux et collectifs assumés par les citoyens ne sont pas comptabilisés dans ces estimations. Il appert donc que la croissance des activités reliées à la manutention et à l’entreposage de granules de bois à l’Anse-au-Foulon bénéficiera principalement à l’APQ et à la CAQ.

Des installations à haut risque d’incendie sans plan de mesures d’urgence

Les installations dédiées à l’entreposage et à la manutention de granules de bois sont à haut risque d’incendie et d’explosion. Malgré l’histoire récente de cette filière, plusieurs événements survenus ailleurs dans le monde témoignent de la dangerosité du produit. Par exemple, le 27 février 2012, 4000 tonnes de granules de bois ont pris feu dans un entrepôt d’une centrale thermique du comté d’Essex en Angleterre. L’incendie a nécessité l’intervention de 120 pompiers et d’une quinzaine de camions-citernes (BBC, 2012). Au port de Panama City, un premier feu de granules causé par un bris de convoyeur a causé des dommages pour plus de deux millions de dollars en mai 2012. Ce feu fut suivi d’un deuxième incendie déclaré en juillet 2012 à bord d’une barge contenant des granules de bois (WJHG, 2012). Au Canada seulement, une dizaine d’incidents ou d’explosions ont eu lieu dans des entreprises qui fabriquent ou qui manutentionnent des granules des bois (Murray, 2011). Ces statistiques inquiétantes font en sorte qu’il est maintenant de plus en plus difficile d’assurer ce type d’opération. Les primes d’assurance ont augmenté considérablement et certains assureurs refusent même d’assurer ce type d’opération (Murray, 2011).

Malgré les risques inhérents au projet proposé, l’étude environnementale ne présente aucun détail sur l’analyse de risques et les mesures d’urgence. On y mentionne qu’une analyse de risques a été réalisée et qu’un plan de mesures d’urgence présentera les principales actions envisagées pour faire face à une situation d’incident/accident. Bien qu’ils soient une composante essentielle de la démarche d’évaluation environnementale, ces éléments sont totalement absents de l’analyse présentée. Étant donné les statistiques inquiétantes pour ce type d’opération, nous considérons tout à fait inapproprié d’opérer ce type de terminal à proximité de secteurs fortement peuplés.

Une autre source potentielle de poussière et de gaz toxiques

L’étude environnementale de la CAQ précise que « considérant les éléments mis en place, les répercussions des émissions de poussières sur la qualité de l’air sont considérées comme faibles et les activités reliées à la nouvelle installation affecteront peu la qualité de l’air du secteur de l’Anse-au-Foulon ». On y mentionne aussi qu’ « un plan de surveillance sera mis en place pour identifier les répercussions possibles pendant les activités de construction (bruit, poussières, circulation, etc.) ». Encore une fois, nous devons faire confiance au promoteur, car aucun détail n’est fourni concernant les programmes de suivi qui permettront de vérifier l’exactitude de l’évaluation environnementale et l’efficacité des mesures d’atténuation. Curieusement, il n’est fait aucunement mention des nombreuses plaintes de citoyens du Cap-Blanc qui constatent déjà des dépôts anormaux de poussière dans ce secteur (Radio-Canada, 2012, Lachance, 2013). Les effets environnementaux potentiels du projet constituent donc des effets cumulatifs à ceux des autres activités.

Les granules de bois ne sont pas une matière facile à manipuler. Elles sont très fragiles et se dégradent facilement. La poussière produite lors de leur manutention est très fine, combustible et explosive. Selon M. Staffan Melin, directeur de recherche pour l’Association canadienne des granules de bois, le contrôle de la poussière est toujours le principal défi pour toutes les usines de bouletage et les installations de manutention de granules de bois (Sorensen, 2011). Malgré les affirmations de la CAQ et de l’APQ, plusieurs témoignages nous permettent de remettre en question l’évaluation des répercussions de telles activités sur la qualité de l’air. Par exemple, en février 2008, un terminal portuaire de granules de bois de Vancouver a reçu une amende de 100 000 dollars pour avoir engendré l’émission de poussière malgré l’utilisation de

systèmes fermés de convoyeurs et de silos (North Shore News, 2008). À proximité d’un terminal de granules de bois du port de Tyne en Angleterre, des résidents se plaignent d’une fine poussière qui se dépose dans leur environnement lors des activités de chargement et de déchargement de navires. L’entreprise ne parvient pas à contrôler ces émanations (Ward, 2011). Contrairement à la croyance populaire, la poussière de bois n’est pas inoffensive. Ces poussières sont cancérogènes et peuvent causer de l’asthme, des rhinites et des dermatites de contact.

De plus, lors de l’entreposage, les granules de bois se décomposent peu à peu au fil du temps, libérant des gaz toxiques tels que le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4). Le processus de la décomposition produit également de la chaleur ce qui accélère la production de gaz ainsi que le risque d’incendie. Le stockage et l’expédition de granules de bois sont sous les projecteurs depuis que plusieurs accidents mortels ou causants des blessures graves sont survenus en 2002 et 2006 (Curci, 2011). En juin 2008, deux personnes sont décédées en Finlande en travaillant dans un entrepôt de granules de bois. D’autres enquêtes ont eu lieu alors que cinq personnes auraient été tuées au cours d’une période de 24 mois dans les ports suédois. Des accidents ont également été signalés en Allemagne en 2010 (Curci, 2011 ; Melin, 2010).

À la suite de ces nombreux incidents, un groupe de recherche de l’Université de la Colombie-Britannique a été créé en collaboration avec l’Association canadienne des granules de bois pour développer une meilleure compréhension du comportement des granules de bois. Force est de constater qu’une grande partie des connaissances sur les modes de manutention et d’entreposage des granules de bois sont récentes et incomplètes. Dans ce contexte, il nous semble tout à fait inapproprié de localiser ces installations à proximité de quartiers fortement peuplés.

Un argumentaire écologique discutable

L’APQ vante le nouveau projet comme étant un projet de vrac nature, une source d’énergie renouvelable et une ressource écologique, qui permet de récupérer des résidus qui n’auraient pas été utilisés autrement. Toutefois, les conséquences environnementales de la filière de la biomasse forestière ont été sérieusement critiquées par les groupes environnementaux. À la suite d’une étude exhaustive, des spécialistes de la question concluent que (Mainville, 2011) « L’exploitation forestière à des fins énergétiques augmente les émissions de carbone vers l’atmosphère et contribue aux changements climatiques pour des décennies, voire des siècles. Le Québec et le Canada ne comptabilisent pas ces réelles émissions de gaz à effet de serre (GES) en supposant qu’elles n’ont pas d’effet sur le climat. S’assurer que l’empreinte climatique de la bioénergie forestière soit bel et bien comptabilisée est crucial si les gouvernements veulent s’attaquer aux changements climatiques et atteindre les cibles de réduction de GES en 2020 et 2050. La combustion de bois à grande échelle constitue en outre un

risque à la santé humaine dû à d’importantes émissions toxiques de particules fines, de monoxyde de carbone et de métaux lourds. Puisque d’énormes quantités de biomasse forestière sont nécessaires afin de produire de petites quantités d’énergie, des impacts écologiques majeurs sur la santé et la biodiversité des forêts sont à prévoir si cette “ruée vers l’or vert” continue sa trajectoire actuelle. La biomasse forestière ne peut et ne doit pas remplacer les carburants fossiles à grande échelle. La production d’électricité à partir de bois est inefficace, alors que la transformation des arbres en biocarburant pour le transport entraînera un impact sur de vastes régions forestières ».

Ces arguments sont d’autant plus justifiés que les granules de bois manufacturées en Ontario et manutentionnées à Québec parcourent de très longues distances pour se rendre en Europe. Une étude récente sur les effets environnementaux liés à l’exportation de biomasse vers l’Europe montre que près de 40 % du contenu énergétique des granules est dilapidé pendant la transformation et le transport des granules, avant même d’atteindre leur destination dans des centrales au charbon à travers l’Europe. Les auteurs de l’étude concluent que pour réduire les impacts sur l’environnement, le marché local devrait être privilégié afin de réduire la consommation d’énergie associée au transport sur de longues distances des granules de bois (Magelli, 2009). Ainsi, nous contestons fortement l’argument écologique avancé par le promoteur comme justification de l’acceptabilité sociale du projet.

À l’opposé de nos choix de société

L’aménagement du territoire, les usages et la vision du développement ne sont pas des prescriptions neutres, ils sont le produit de choix de société et devraient normalement faire l’objet d’un consensus entre les différents acteurs. Le projet sur la table ne respecte en rien la volonté de la communauté pour ce lieu particulièrement porteur de sens, en plus d’ignorer l’histoire récente.

La Ville de Québec a choisi de favoriser pour son centre-ville un positionnement récréotouristique, résidentiel et commercial. Des activités industrielles restent théoriquement possibles, mais ne devraient pas remettre en question l’essence même de cette vocation. Au sujet de ce terminal d’entreposage et de transbordement de granules de bois, l’historien Michel Lessard disait récemment° : « On répète ici l’aventure insensée d’Alumax-Lauralco menée dans les années 1990 […] et qui avait été rejetée par notre population ». On vient aussi compromettre la vision amorcée par la réalisation de la promenade Samuel-De Champlain et son lien possible avec la vaste place publique projetée devant le musée de la civilisation (Gaudreault, 2013). Après le retrait des réservoirs de la Irving en 1997 et les investissements de 70 millions déjà engagés, en plus des 100 millions à venir, pour la réalisation de la Promenade Samuel-De Champlain (Porter, 2012), il est désolant de constater qu’un seul membre de notre communauté puisse encore s’attaquer unilatéralement aux aspirations légitimes de toute une population.

L’Administration portuaire de Québec a choisi à un moment de son histoire de privilégier le vrac comme fer de lance de son développement au détriment d’autres usages portuaires plus adéquats. Nous l’avons mentionné plus haut, une industrie qui demande toujours plus d’espace, qui est à haut risque d’impacts sur l’environnement et qui contribue faiblement à générer des retombées économiques locales est-elle le meilleur choix en fonction de la configuration sociogéographique du centre-ville ?

Conclusion

Le président-directeur général de l’APQ, soutenait par voie de communiqué que « le terminal de granules de bois est un exemple concret d’un projet de qualité qui crée de la richesse dans le respect de l’environnement et de la communauté. Le terminal de granules de bois est une infrastructure d’exportation à la fine pointe de la technologie dont les effets environnementaux ont fait l’objet d’une étude exhaustive et qui permettra de créer de la richesse ici à Québec. C’est précisément ce type de projet que nous souhaitons pour assurer le développement du Port de Québec ».

Une lecture vigilante des documents présentés et du contexte nous amène plutôt à conclure qu’au lieu d’annoncer une nouvelle ère dans l’histoire des relations entre le Port de Québec et la communauté, ce projet semble être la granule qui fera déborder un vase déjà trop plein : étude d’impact environnemental incomplète ; retombées économiques modestes pour la région ; installations à haut risque d’incendie sans plan de mesures d’urgence ; source potentielle de poussière et de gaz toxiques ; argumentaire écologique discutable et un projet en contradiction avec un littoral urbain contribuant à la qualité de vie des citoyens. Tous ces éléments nous amènent à joindre notre voix à celles qui se sont déjà élevées pour affirmer qu’il s’agit d’un mauvais projet, au mauvais endroit et mené de la mauvaise manière.

Nous le mentionnons depuis le début : l’ensemble du territoire appartient à l’ensemble des citoyens et tous ont un droit de regard sur son utilisation. Le temps n’est-il pas venu de prendre une pause et d’asseoir tous les acteurs, citoyens compris, autour d’une même table afin de décider ensemble de ce que nous voulons pour notre ville et notre port ? Nous lançons candidement la question.


Références

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Lacoursière, J. 2012. IMPACT$ EN VRAC. Retombées économiques dans la région de Québec du transport maritime des marchandises au Port de Québec. Disponible en ligne : http://www.vigilanceportdequebec.com/wp-content/uploads/2013/01/Impactsen-
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