« Non seulement c’est une demande légitime, mais c’est une demande nécessaire. Un étudiant universitaire qui gère pleinement une classe pendant plusieurs mois, en situation d’apprentissage particulièrement intense, ne peut raisonnablement occuper un second emploi pour subvenir à ses besoins. Le gouvernement doit enfin donner le signal qu’il reconnaît les importantes contraintes de cette formation en donnant suite aux revendications étudiantes. Ce serait là un geste concret et attendu vers une plus grande valorisation de la profession enseignante », de déclarer Mme Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ.
La FSE-CSQ donne son appui à cette revendication étudiante depuis plusieurs années.
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