« Par ailleurs, nos craintes demeurent quant à l’avenir de nos médias et la qualité de l’information. Il faudra faire davantage pour assurer la pérennité du secteur, et nous attendons avec impatience les recommandations de la commission sur l’avenir des médias, en espérant que des mesures concrètes seront annoncées. Le temps presse, nous l’avons déjà dit et le répétons, l’information n’est pas un bien de consommation comme les autres. C’est un bien public et il faut le protéger. Aussi, Québec ne peut rester les bras croisés et devra mettre davantage de pression sur Ottawa pour qu’il agisse face entre autres aux géants du Web », ajoute le président de la FTQ.
« L’industrie devra également faire ses devoirs et s’interroger sur un nouveau modèle d’affaires pouvant assurer la survie de leurs entreprises et préserver des emplois de qualité. Trop longtemps, les propriétaires des grands médias écrits n’ont fait qu’engranger de l’argent sans se préoccuper de l’avenir. Cela doit changer », conclut le président de la FTQ.
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