« Je demande aux autres formations politiques de s’engager à renoncer définitivement à la fracturation hydraulique. Recourir à ce type de procédé représente trop de risques pour la santé et l’environnement en plus de détruire des territoires agricoles que le Québec a tant besoin de préserver », affirme le docteur Khadir.
Rappelons qu’aucun autre parti n’a de position ferme pour interdire la fracturation hydraulique, technique industrielle dangereuse par la quantité d’eau qu’elle contamine dans chaque opération et par les risques qu’elle fait courir aux travailleurs-es et aux populations qui habitent près des zones de forage à cause de l’utilisation de produits cancérigènes, en plus des cas de migration des gaz souterrains.
« L’environnement est au centre de nos priorités. Nous avons présenté un plan vert qui, entre autres, propose le développement d’énergies alternatives, des investissements massifs dans d’électrification des transports ainsi que l’instauration d’un vaste chantier d’efficacité énergétique. Ici comme ailleurs, il est temps de se tenir debout pour tourner la page de notre dépendance aux énergies fossiles », conclut le candidat solidaire dans Mercier. Ajoutons que quatre candidats-es de la Montérégie (Anne Poussard de Chambly, Jean-François Lessard de Borduas, Marie-Ève Mathieu de Richelieu et Richard Gingras de Saint-Hyacinthe) accompagnaient le député solidaire.
Pour plus d’informations sur le Plan Vert de Québec solidaire, nous vous invitons à consulter le lien suivant : http://www.quebecsolidaire.net/publications/le-plan-vert/