La BPCOM va boucher la vue sur la rivière, l’un des derniers plaisirs qu’il reste à Mme Kitchikeesic.
Des travailleurs et travailleuses des postes et des résidents préoccupés par la situation occupent en ce moment l’emplacement où sera installée la BPCOM et où, hier, des entrepreneurs ont coulé du béton. Ils prévoient poursuivre leur occupation jusqu’à ce que Postes Canada installe la BPCOM ailleurs.
« Postes Canada doit écouter ce que la population a à lui dire », déclare Mike Palecek, président national du STTP. « La société d’État croit pouvoir faire ce qu’elle veut, sans se soucier du coût que ses actions entraînent pour les personnes visées par ces compressions inutiles. »
Mike Palecek sera disponible pour accorder des entrevues aux médias à 10 h, le mercredi 10 juin, au 193, avenue Churchill, à Ottawa.